Vidéo: Du péché et du désordre sexuel, d'un point de vue clinique et factuel

Publié le 20/11/2017

  • Vidéo: Du péché et du désordre sexuel, d'un point de vue clinique et factuel

 par Sébastien Renault, logicien (42')

Une leçon sur les pratiques sexuelles contemporaines au regard de la morale publique et de la logique

:55 : Notre confusion cognitive

4:00 : L’homosexualisme comme désordre

4:37 : La contraception comme imitation de la stérilité homosexuelle

6:00 : La loi naturelle, c’est la physique de l’âme: impossible de tricher avec les lois de la physique.

8:00 : Contraception, nous nous soumettons à une prohibition d’existence à l’encontre de l’âme humaine qui pourrait résulter de l’acte sexuel.

10:00 : La notion de péché invétéré, une occlusion graduelle de la conscience, une anticipation de la structure infernale caractériseé par la perpétuité et l’autoblocage.

12:44 : Notre aveuglement consiste à imaginer une supériorité de notre société décadente.

13:55 : Les péchés les plus graves, contre nature, contre le Dieu vivant, sont toujours des péchés contre la logique.

16:15 : La masturbation comme attitude permissive envers tous les autres péchés, la porte d’entrée de l’enfer.

18:10 : Au coeur du péché, la revendication d’un solipsisme mortifère, autoréférentiel, donne lieu à une indécence préconisée et vicieuse.

20:30 : Le sodomisme comme contradiction logique

22:43 : Rappel de l’équivalence introduite par Dante entre sodomistes et usuriers, parce qu’ils génèrent tous deux la stérilité mortifère.

23:40 : Les constantes immuables de la nature humaine : la différentiation sexuelle contre les chimères progressistes de la variabilité pure

25:00 : La quiddité contre le transhumanisme

25:40 : Ce qu’on entend par “espèce humaine” relève du scientisme, de l’idéologie pure, la malléabilité dépourvue de sens s’oppose à la nature humaine, seule réalité.

28:30 : Si on croit à l’autocréation, c’est la fin de la responsabilité, c’est le zoo contemporain, fruit du sacrifice de la nature humaine

29:00 : Le n’importe quoi actuel relève de la dissonance mentale

30:00 : Au niveau du langage, autrefois le consensus autour de la moralité publique était centré sur la protection des plus vulnérables, dont les enfants ; maintenant c’est fini.

32:00 : On se préoccupe plus de liberté d'expression que de la moralité publique qui supposait une nature humaine stable, l’homme était un être social et moral par nature, aspirant à la rationalité.

33:13 : Il est impossible de concilier le bien être moral de l’être social avec le droit présomptif absolu de l’individu qui s'exprime.

34:02 : Le subjectivisme actuel implique la tyrannie.

34:46 : On n’entend plus le bien et le vrai, jadis intuitivement reconnus par la conscience.

35:30 : La moralité publique est réduite à néant, car elle ne reçoit plus de normes issues de l’application de la loi naturelle.

36:00 : Le barrage est dressé par la minorité, composée des élites et des cymbales médiatiques, ensemble de crapules usurpatrices qui imposent des normes de substitution.

36:50 : On nous impose une guerre des préférences individuelles sous prétexte de tolérance.

37:25 : Mais il n’existe pas de vertu de tolérance, le Christ n’a jamais commandé la tolérance.

38:05 : Il n’existe que la vérité morale et religieuse, issue d’axiomes révélés qui sont des absolus moraux relevant de la physique de l’âme ; c’est de ceux-ci que l’on tire des théorèmes ayant du sens, des règles de vie universelles et fécondes.

39:20 : Les dix commandements ont été remplacés par des sentiments subjectifs.

39:52 : Nous vivons dans l’abrutissement collectif, ce qui est la définition du péché invétéré selon la théologie.

40:30 : L’hérésie globale ambiante qu’on nous impose porte en premier lieu sur l’objet, l’usage et la finalité de la sexualité.

41:00 : Athéisme + religion sentimentale dénigrent de concert la religion.

41:35 : La religion authentique est une affaire d’intelligence et non pas de sentiments et de pratiques superficielles.

42:00 : Connaître la cause première et la fin dernière de l’homme tout entier, c’est possible.