Publié le 06/08/2021
Par Sébastien Renault*
« La seule chose dont un gouvernement a besoin pour transformer les gens en esclaves est la peur. » (Hermann Göring)
Le tristement célèbre chef du mouvement nazi, l’un des principaux protagonistes de l’État policier nazi en Allemagne, poursuivant la citation ci-dessus au procès de Nuremberg, ajoutait :
« Si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire faire ce que vous voulez. »
Technocratisme covidique, thérapie expérimentale de masse, apartheid sanitaire, et instauration d’une dictature hygiénique sont aujourd’hui synonymes de la même réalité en France, telle qu’initiée par le coup d’État constitutionnel macroniste du 12 juillet dernier.
L’un des mérites du corona-circus d’État au sein duquel nous vivons désormais depuis plus de 18 mois est d’avoir mis en lumière, pour ceux qui vivaient encore dans l’illusion, le vrai visage de la belle démocratie égalitaire de nos sociétés si évoluées.
En régime covidico-hygiénique étatique, les individus ne sont plus que les composants d’un grand tout social, forme totalitaire de l’idéal égalitariste, par définition antilibéral. La primauté collectiviste devient synonyme de vertu et de « sécurité de tous ». À la liberté « égoïste » de l’individu récalcitrant (et dès lors « extrémiste » et finalement « complotiste »), il faut à tout prix substituer le solidarisme citoyen, odieuse parodie de la « communion des saints ». Le souci omniprésent de conformité collective marque l’avènement de ce social-étatisme de facture sanitaire comme remplacement de l’authentique théologie catholique du Corps Mystique du Christ, au sein duquel les membres, mutuellement unis, participent également de la souveraine liberté de leur Tête divine, le Christ Roi. Ce pourquoi les chrétiens sont eux-mêmes, de facto par vertu baptismale, prêtres, prophètes, et rois, donc détenteurs d’une souveraineté irréductible à un quelconque détournement collectiviste covidien de la doctrine sociale de l’Église.
Les grandes menaces civilisationnelles qui pèsent aujourd’hui sur le monde occidental covidisé proviennent d’abord et avant tout du poison primordial caché dans le fruit de la démocratie égalitaire anticatholique – anticatholique par définition, puisque le catholicisme pré-moderniste n’est ni démocratique, ni égalitaire, mais bien hiérarchique, reposant sur un ordre sacré, prérequis de la concorde des peuples et de l’exercice pondéré (raisonnable, donc responsable et juste) des libertés des membres constitutifs de ce qu’on appelait autrefois la chrétienté. Ce poison a fait son chemin au fil des métamorphoses des sociétés libérales de plus en plus postchrétiennes, jusqu’à contraindre subrepticement celles-ci à ne plus produire de citoyens libéraux, au sens philosophico-moral strict du terme.
Sous l’emprise de la dictature sanitaire contre lequel se lève enfin le peuple français (par millions !), les néo-détracteurs du libéralisme poussent une vision du monde fondée sur le rejet des aspirations libérales anciennes. Dans un tel cadre, la justification théologique pour le bien-fondé des individus proprement souverains et rationnels, est de nouveau dans le collimateur du moralisme public libéral-sécuritaire collectiviste, relayé également par les figures de proue du « catholicisme » de contrefaçon [1] dans pratiquement tous les diocèses du monde [2].
L’ordre « libéral », en démocratie égalitaire « TousAntiCovid », en vient donc à s’incarner aujourd’hui à travers toute une série d’objectifs et de sentiments collectifs dogmatiques à prétention religieuse (se faire « vacciner », c’est faire œuvre de « charité » vis-à-vis du reste du monde, etc.). Faire de la résistance authentiquement libérale, principalement à l’imposition inique d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques, devient, par contraste, une forme d’offense inacceptable contre cet ordre unitaire auquel seuls dérogeraient les fameux « complotistes ».
L’avènement totalitaire du monstre covidique étatique vient providentiellement manifester les contradictions qui habitaient déjà un libéralisme en fin de vie, en bataille intériorisée contre ses propres principes viciés, déchristianisés. La transition des idéaux libéraux à la tyrannie actuelle de l’application des mesures démentes de la « guerre contre la Covid » à toute une population, ouvre la voix d’un retour inspiré et reconstructeur -aux racines chrétiennes- de l’authentique société civile. La décomposition de l’âme libérale par le consumérisme sans limites et la marchandisation généralisée qui finit fatalement par en découler s’enracine dans le mensonge programmatique du projet relativiste absolutisé (selon une contradiction évidente dont nous avons déjà examiné les effets et les implications). En réduisant la notion ontologique de vérité à celle de « valeur », le relativisme programmatique épistémologique et politique finit par donner naissance au vide spirituel paradoxalement incarné par nos sociétés libérales contemporaines périclitées. Le façonnage du monde postmoderne repose entièrement sur cet effort artificieux de construction relativiste de valeurs post-aléthéiques, de virtualités engendrées en réponses aux dérives scientistes des Lumières et de l’illusion linguistique d’un dépassement positiviste de la métaphysique.
C’est dans ce cadre philosophique qu’émerge naturellement l’arbitre illégitime que veut incarner la nécessité étatique toute puissante d’intervenir et de légiférer sur des sujets virtualisés, atomisés, et relativisés. C’est dans ce cadre philosophique politisé que l’État technocratique met aujourd’hui en place le programme d’inoculation obligatoire du peuple, pâte humaine sans autre valeur que celle que lui octroie l’État, selon son implacable logique collectiviste.
Mais un tel exercice du pouvoir de la Bête étatique en vue de « résoudre la crise sanitaire » ne pouvait certes durer. Sous la pression d’une machine aussi propagandiste qu’anticonstitutionnellement brutale, les instances gouvernementales espéraient bien voir le pauvre peuple de sujets sidérés et lobotomisés par la peur médiatique ne plus juger de la réalité du phénomène Covid qu’à partir des mesures de restrictions qui lui sont arbitrairement imposées depuis plus d’un an et demi de covidisme forcené et incohérent.
Voilà qu’en réponse à cette violence cherchant à tout prix la neutralisation de l’individu rationnel et libre, le peuple se réveille et se permet de remettre ouvertement en cause l’intégrité des autorités publiques, des élus de la République coercitive française, d’experts non-élus d’un « conseil scientifique » unilatéral, sans oublier, bien sûr, des prostitués de la pire espèce, les propagateurs médiatiques de la pensée unique la plus insupportable.
Mais le système immunitaire étatique n’est pas encore au bout de sa propre résistance à la raison, à la justice, et à la sagesse populaire. Une nouvelle démonologie se met en place, les « stars » faisant entendre leur indignation (Alain Souchon, Patrick Chesnais, …) à l’encontre des démonstrations massives de résistance au « pass sanitaire », démonstrations qui s’organisent de plus en plus sur le fondement d’une levée de conscience contre-propagandiste extraordinaire.
Néanmoins, et c’est ce qu’il est impératif d’exploiter au maximum en ces temps de remise à l’heure des pendules civilisationnelles, la dislocation du monde covidien par la prise de conscience populaire effraye véritablement le système de mensonge sur lequel il a été construit depuis le départ. Une fois érodées de manière irréversible la narrativité mythomaniaque d’État et son « état d’urgence sanitaire » permanent, que peut bien l’autoritarisme bureaucratique gouvernemental face au grand sursaut d’un peuple faisant désormais barrage de plus en plus coalisé à l’imposition des dérives honteuses de l’institution « démocratique » ?
Le fait de fond est le suivant, et constitue une donnée implacable de ce qu’on appelle le mondialisme : il n’y a plus, en France, d’État de droit. Tous les gens encore capables de penser le savent pertinemment, nous n’apprenons ici rien à personne. Là où le pouvoir étatique et celui des multinationales collaborent étroitement au point de converger en un seul Léviathan, il n’y a tout simplement plus de société libérale. Dans le schéma de l’utilisation technocratique du gouvernement, qui définit précisément notre propre situation d’assujettissement contemporain au fascisme du pouvoir numérique googlien n’importe où sur la planète, nous ne sommes plus que de vulgaires QR codes, des nombres dans des machines à voter algorithmiques et trafiquées, des dépotoirs de Big Pharma, des offrandes humaines sur le grand Autel néopaïen de la déesse Gaïa… Ce système hégémonique, déshumanisant, entièrement soumis au contrôle de la haute finance, est un système téléologiquement aliénateur, révocateur progressif de liberté fondamentale. Son terreau est la démocratie ; son déploiement, celui d’un totalitarisme arborescent. Ce que confirme bel et bien sa configuration sanitaire aujourd’hui omniprésente, au prétexte de la protection des peuples : il règne par la peur. C’est ce règne que nous voyons aujourd’hui commencer à s’effriter, par le sursaut d’une conscience collective rationnelle qu’on avait honteusement bâillonnée pendant des mois de dérive étatique. C’est ce règne de la peur et de la bêtise institutionnelle qu’il faut résolument encourager tous les Français et tous les peuples du monde à mépriser souverainement, au nom de la raison et de la liberté sacrée dont l’homme est le dépositaire de choix, oui, par élection divine – ce dont ne peuvent se targuer, jamais au grand jamais, le caillou Gaïa et toutes les autres créatures infra-rationnelles dépourvues de la moindre liberté, chose qu’il est urgent de rappeler au passage, messieurs et mesdames les écolos infantiles).
La raison court-circuitée
Dans les faits du monde réel, le virus du SARS-Cov-2 n’a jamais justifié les mesures totalitaires et liberticides de contrôle social que nous avons vu s’imposer en France et un peu partout ailleurs, sous les effets d’une fièvre médiatique alarmiste sans égale dans l’histoire des civilisations.
Dès le début de la mascarade covidique, la peur a été introduite dans le « débat » pour le contrôler au maximum dans les sphères médiatiques de masse, selon la technique parfaitement récapitulée par Göring en exergue de ce texte.
L’effet de cette inoculation initiale de la peur a d’emblée été la neutralisation des opinions dissonantes, discréditées comme « complotistes ». Bénéficiant du concours toujours dévoué du filtrage médiatique unilatéral (ou censure), la narrativité du pouvoir a donc pu s’imposer sans grande résistance de la population, d’abord abasourdie par les premiers dérapages gouvernementaux vers la contrainte collective indéfinie.
Très vite, le complexe politico-gouvernemental et scientifico-médiatique est parvenu à instiller une panique covidienne si avancée à tous les étages de la vie socio-culturelle, que la désorientation et l’hystérie collective prirent l’ascendant sans partage sur la rationalité décisionnelle. La domestication morale de l’homme covidique devait être assurée par l’instrumentalisation de la science, par la confiscation politique de la gestion d’une épidémie en elle-même aussi banale et dangereuse qu’une virose grippale, par l’abandon sanitairement « salutaire » des libertés, et par l’entretien perpétuel de la psychose paranoïaque covidophobique.
La régression hors de la raison était la condition sine qua non pour faire accepter, au prétexte de préservation de la santé publique, un système répressif qui n’a jamais rien eu à voir avec la neutralisation du SARS-Cov-2 en France.
Il aura en outre fallu entériner la répression en assurant son intériorisation par le biais du sophisme moralisateur. On a à cet effet infantilisé les Français en leur rabâchant des discours fallacieux sur la « responsabilité personnelle » de chacun à agir « par solidarité envers les plus vulnérables », alors même que les moralisateurs au pouvoir imposaient à ces mêmes Français la dépossession de leur aptitude à faire des choix proprement responsables, c’est-à-dire libres et éclairés par la raison et le droit naturel.
Après des mois d’abus de pouvoir et de mesures autoritaires irrationnelles ayant donné lieu aux confinements généralisés, aux couvre-feux absurdes et infantilisants, à la surenchère de dépistages trompeurs au service politique du maintien stratégique de la peur collective et de la fabrication de faux malades, à la mise en place d’une traçabilité numérique d’essence discrétionnaire, au port du masque (asphyxiant) rendu obligatoire partout, place aujourd’hui au passeport discriminatoire ! On en vient donc, en cette nouvelle phase du grand corona-circus politique, à l’imposition étatique du « pass sanitaire » comme passe-droit à la liberté retrouvée. Admirez le sophisme – et qu’il puisse encore passer inaperçu : la mise en place d’un régime de liberté conditionnelle de toute une population au nom de sa sécurité et de sa libération (moyennant l’instauration définitive d’une société de surveillance qu’on croyait naïvement l’apanage des films de science-fiction).
Derrière cette argutie gouvernementale insupportablement inepte, identifions le maître mot du plan d’action covidique implacable et paré de toute la bonne conscience du monde. Depuis le début de la grande chienlit politico-sanitaire, ce plan d’action continue de faire peser son effet intellectuellement pernicieux sur nombre d’esprits amenés, en tapinois, aux portes de l’assentiment au totalitarisme : il s'agit de sacrifier l’individu à la collectivité, la seconde étant conçue, en toute logique totalitaire (qui s’ignore chez la plupart de ses adeptes aujourd’hui), comme le bien suprême « indéniable ». Voilà qui serait certes défendable si les hommes, au lieu d’être des hommes, étaient des insectes (organisés, par exemple, en essaims d’abeilles ou en colonies fourmilières).
L’endurcissement des mesures de soumission et de contrôle sanitaire de la population » pour un virus peu dévastateur au plan de la mortalité, démontre en toute clarté que la Bête étatique ne poursuit aucun dessein médical altruiste de protection de qui que ce soit, sinon d’elle-même. La crise sanitaire et son maintien profite, avant toute chose, au renforcement du pouvoir arbitraire de la Bête, donc à l’extension calculée de son totalitarisme insatiable, même et surtout lorsqu’il avance déguisé. L’irrationalité de la gestion d’une telle crise n’a donc jamais été le fruit du hasard. Aux yeux de la Bête, elle est d’abord un outil de gouvernance, par-delà les incompétences de ses marionnettes politicardes les plus visibles et les plus auto-contradictoires.
Le fanatisme covidique qui menace aujourd’hui le droit naturel et les libertés constitutionnelles des citoyens s’attaque directement aux fondements de la civilisation. Il gouverne par la peur, par l’irrationalité, par la paranoïa vis-à-vis d’autrui, par la novlangue sanitaire, par l’unidimensionnalité liberticide, par une mainmise technocratique méta-constitutionnelle.
Il sera ici des plus utiles de consulter le collectif d’avocats français, cosignataires d’une récente tribune [3] dans laquelle ils énoncent un argumentaire juridique rigoureux contre l’obligation vaccinale et le « pass sanitaire ». Son obligation, ayant fait l’objet d’une validation extensive le 5 août par les « Sages » du Conseil constitutionnel, contrevient au code de droit positif français (comme il contrevient au code de droit international, cf. le code de Nuremberg, à la Convention d’Oviedo sur les droits de l’homme et la biomédecine, etc.). Il est urgent de faire connaître aux gens leurs droits fondamentaux face à la répression En marche qu’on cherche aujourd’hui à normaliser un peu partout, notamment en France, au motif (menteur) de « l’intérêt général » (selon une logique de réification de l’individu, de dessaisine de ses droits naturels, de proportionnalisme « moral » sophistique, et de justification du totalitarisme comme seul recours face à un virus dont la mortalité avoisine les 0,03 % en France, les 0,15 % à l’échelle mondiale).
Renoncer à vivre en se pliant passivement au déclin civilisationnel que promulgue aujourd’hui la Bête étatique totalitaire au nom de sa lutte contre la libre circulation des agents pathogènes, relève de la plus stricte folie. Se garder du virus, quoiqu’il en coûte, quoiqu’il faille accepter, voilà le nom de cette folie. Le refus étatique de se plier à l’ordre de la raison pour imposer celui de la déraison, son hubris anti-pathogénique unidimensionnel, sa démesure exécutive et son technocratisme politico-médical sont dignes, plus que d’une indignation unanime du peuple, de sa désobéissance vertueuse implacable.
Le réveil transculturel de la raison face à la suspension de l’État de droit
La spoliation de la liberté de tout un peuple au motif spécieux d’assurer le bien commun sanitaire ne peut avoir qu’un temps. Face à l’entérinement gouvernemental de l’imposition d’un pass ségrégationniste anticonstitutionnel, la raison se réveille aujourd’hui et s’exprime inexorablement à travers une immense levée du peuple français, d’hommes et de femmes de toutes catégories sociales et affiliations politiques.
La mentalité de précaution poussée à l’extrême de la recherche, à tout prix, du « risque zéro » (mentalité qui avait particulièrement primé à l’heure de l’imposition indiscutable des mesures insensées de confinement prolongé), a curieusement été controuvée avec la mise en circulation de la thérapie génique de masse présentée comme « vaccinale ». Tout à coup, invoquant la « priorité nationale » inoculatrice, le principe de précaution n’a plus lieu d’être et le gouvernement se croit autorisé à outrepasser toute raison et déontologie médicale.
On aurait pensé que l’inconnu liée à la conception et à la distribution d’un produit synthétique en phase d’essai clinique aurait au moins interpellé et appelé à la prudence d’un État si dévoué à la protection du peuple. Il n’en a rien été (pour des raisons pas très avouables d’association d’intérêts entre le gouvernement et les grandes industries biopharmaceutiques, en premier lieu Pfizer/BioNTech), pas même initialement du côté de la population, le « vaccin » mondialiste ayant fait l’objet d’une attente « messianique » palpable à travers le monde entier.
Mais l’absolutisme gouvernemental de l’éradication virale, comme forme sociétale de « salut » fondé sur la « vaccination » de masse, ne fait plus l’unanimité de ceux qui sont censés s’y soumettre, sans discussion, pour le « bien collectif » – présumé l’emporter sur la sauvegarde du bien privé (par la magie du détournement sophistique de la théologie du Corps Mystique, dont nous avons parlé plus haut). Vouloir forcer des personnes rationnelles, libres et responsables à se soumettre, sans esprit critique, à un état d’esprit ruineux et totalitaire de précaution absolue, voilà qui ne pouvait espérer s’accomplir sans la résistance transculturelle qu’oppose désormais un peuple français secoué et galvanisé par son sens opiniâtre de la justice et de raison.
Le motif de l’État tout-puissant et de ses « Sages » décisionnaires de faire comme si la France rationnelle et ralliée contre la dictature covidique n’existait pas est simple et grandiloquent d’imposture coutumière : la nouvelle « flambée épidémique » par le « variant Delta » ! Ce microcosme d’emberlificoteurs et de sophistes gouvernementaux méprise son peuple, purement et simplement. Depuis le début des dépistages l’an dernier, ils sont passés maîtres du brouillamini médiatique, de l’inconséquence auto-contradictoire et du maniement trompeur des données chiffrées relatives à l’épidémie, s’abstenant de distinguer les individus testés positifs, des individus confirmés êtres des patients contaminés, des individus effectivement malades... À l’heure où nous rédigeons ces lignes, les chiffres officiels de surveillance virologique en France [4] ne révèlent rien qui ressemble de près ou de loin à quelque « flambée épidémique » (que la métaphore de la « flambée » suggérerait de rapprocher d’une progression sous forme de courbe exponentielle, des plus fictives ; voir également les graphiques et les cartes générés chaque semaine à partir des données de 29 pays participants [5]).
Remarquez que les esprits dominés par la terreur covidique concèdent évidemment que la contagiosité fluctue en fonction des mutants (dont la présence vient contrecarrer le pouvoir immunisant de leur « vaccin » en phase d’essai clinique). Mais ils font curieusement abstraction du fait – pourtant des plus significatifs pour l’estimation de la dangerosité réelle d’une épidémie – que la létalité (= le nombre de décès divisé par le nombre de cas diagnostiqués), de son côté, ne varie quasiment pas. Ce qui se remarque d’ailleurs depuis plus d’un an, et ne peut donc être attribué à la protection putative de l’injection génique expérimentale.
Alors que le peuple éveillé se positionne dans une attitude de contre-attaque pacifique et rationnelle, face à l’aggravation de la dictature sanitaire, l’heure est donc venue pour la puissance publique de se mobiliser assidûment contre ce peuple pour mettre en œuvre le protocole sanitaire concocté par les (ir)responsables politiques et sanitaires, tout en se livrant à cette sophistique caractéristique des gens du pouvoir. Ainsi, selon Jean-Baptiste Djebbari, ministre des Transports :
« La logique du pass sanitaire […], c’est préserver la liberté de déplacement et inciter à la vaccination. »
La macronie liberticide et sophistique continue sa marche en avant dans la perfidie techno-dictatoriale. Le passe-droit sanitaire, « préservateur » de la liberté d’aller et venir et incitateur à la « vaccination », scelle bel et bien la démarcation de deux catégories de citoyens français ne disposant pas des mêmes droits. Moment historique de régression civilisationnelle et de dénaturation de la Constitution française.
Le chantage gouvernemental à la vie normale est donc l’ordre du jour d’un gouvernement qui se contrefiche de la véracité des données du monde réel et sombre dans la dérive totalitaire assumée. La politique du gérer exclusivement en fonction de la Covid incarne la forme aujourd’hui dogmatique de cette déchéance dans la déraison au pouvoir.
Entre épouvante alarmiste et hubris politique, la raison émerge aujourd’hui avec le peuple des gens libres, intacte et fidèle au rendez-vous de la préservation de la civilisation. Le danger n’est pas celui de la Covid, qui n’est qu’un virus parmi tant d’autres (l’humanité a dû faire face à des épidémies bien plus meurtrières). À l’heure cruciale de cette « grande remise à zéro », il n’est de plus grand danger que celui qui pèse sur tous les peuples et qui consiste à les inciter sournoisement, contre le témoignage de leur propre raison et contre la vocation surnaturelle (filiale) de l’homme, à abdiquer leurs libertés contre la promesse d'une fausse sécurité, sanitaire ou autre.
Rappel : quid de l’injection mondialiste
Le scientisme autoritariste nous assène qu’il s’agit d’un vaccin, que la reprogrammation des cellules par l’ARN messager est une prouesse biotechnologique de toute première grandeur, qu’elle est en train de révolutionner le champ de la thérapie antirétrovirale, qu’il n’y a pas le moindre danger (ou presque), etc., etc.
On le sait néanmoins (de plus en plus de gens le réalisent aujourd’hui, en dépit du matraquage médiatique habituel et de la dédication acharnée et sentencieuse des « arbitres » numériques de la véracité factuelle), mais cela vaut la peine de le répéter : le « vaccin » covidique n’est en fait pas un vaccin, mais bien une thérapie génique en phase expérimentale, qui consiste en l’injection d’un ARN messager destiné à induire les cellules du corps à synthétiser la protéine de pointe constitutive du SARS-CoV-2. Le but étant d’apprendre au système immunitaire à la désarmer. Lorsque les cellules « vaccinées » commencent à synthétiser la protéine de pointe dans plusieurs parties du corps, d’autres cellules du système immunitaire détectent effectivement que cette protéine étrangère ne devrait pas s’y trouver. Le problème tient au fait que les pointes ainsi générées vont se retrouver dans l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ou ACE2) et provoquer progressivement des micro-caillots à l’intérieur des vaisseaux sanguins. Ce phénomène de formation, à différents termes temporels selon les patients ainsi inoculés, relève de l’observation, non de théories « complosphériques ». Ce que confirme l’analyse des D-dimères dans le sang, qu’on utilise pour faire les diagnostics de maladies thrombo-emboliques.
Quelques précisions sur l’oxyde de graphène, que nous avions brièvement évoqué dans deux entretiens mis en ligne plus tôt cet été ([732] et [735]). Le docteur et chirurgien José Luis Sevillano, de l’hôpital madrilène El Escorial [6], en lien avec le biostatisticien Ricardo Delgado (fondateur de La Quinta columna) et leur équipe de chercheurs, ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans quatre des principales variantes de l’injection « anti-Covid » expérimentale sur la base de plusieurs échantillons d’AstraZeneka, de BioNtech-Pfizer, de Moderna, et de Johnson et Johnson.
On notera qu’une clarification doit d’abord être apportée au sujet de l’interprétation des grandeurs initialement annoncées par l’équipe du docteur Sevillano après la divulgation des premiers résultats de leurs travaux d’analyse il y a quelques semaines. À savoir que les pourcentages de graphène estimés à 98 % se rapportent spécifiquement au signal d’absorption que présente ce composite nanométrique lorsqu’il est analysé du point de vue spectroscopique.
Il est en outre crucial de souligner que le graphène acquiert des propriétés magnétiques et agit en conséquence comme un supraconducteur dès qu’il entre en contact avec les propriétés biologiques et les températures spécifiques du corps. Autrement dit, en lui-même et par lui-même, le graphène ne possède pas la susceptibilité magnétique qui le caractérise une fois assimilé au système circulatoire au sein duquel il manifeste un comportement magnéto-biologique inédit.
Il est dès lors possible de mesurer l’apparition de plusieurs phénomènes distinctifs chez les patients inoculés « contre la Covid », phénomènes distinctifs et induits par la présence élevée d’oxyde de graphène [7] dans les injections expérimentales les plus fréquemment administrées :
- une différence anormale de potentiel électrique entre deux sites corporels (donc l’induction d’une tension anormalement forte) ;
- une magnétisation anormale du corps [8] ;
- l’emmagasinage d’énergie dans des zones particulières du corps (notamment le cerveau) ;
- la supraconductivité globale du corps (caractérisée par la conduction sans résistance d’un courant électrique et la génération d’importants champs magnétiques).
Autant d’indications que le graphène, une fois injecté, voyage librement à travers tout le système circulatoire cardio-vasculaire (qui constitue une boucle fermée), plutôt que de se cantonner autour du point d’injection (comme l’ont prétendu certains « spécialistes »).
En conséquence, les personnes inoculées fonctionnent comme des supraconducteurs, émettant et recevant des signaux. Compte tenu du fait détectable et mesurable de tels signaux, on peut en outre en mesurer l’alignement précis avec le rayonnement 5G. La raison en est que la longueur d’onde électromagnétique de l’oxyde de graphène, à la fois sa bande d’absorption électronique et sa résonance magnétique, s’aligne précisément sur le spectre électromagnétique de la 3e bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G. L’étrange concordance entre l’étendue de l’utilisation de réseau 5G dans le monde entier et les millions de gens déjà injectés à ce jour avec plusieurs doses de produits synthétiques saturés de graphène ne semble guère fortuite.
Dans ces conditions, en admettant un instant que ces informations puissent faire leur chemin jusqu’aux autorités et instances de santé publique encore réceptives et responsables, on se demanderait à juste titre, entre autres questions rhétoriques, pourquoi cette urgence toujours plus prônée d’inoculer à tous les enfants un produit censé destiné à lutter contre le SARS-CoV-2, s’ils n’en meurent jamais ? Ce serait, comme le répète à l’envi la narrativité protectionniste « éclairée », « pour protéger les personnes à risque », lesquelles ont pourtant déjà été « vaccinées » en vertu même de leur appartenance à la population des personnes à risque (celles qui sont de loin les plus âgées et en proie à diverses formes de comorbidité). En utilisant les prémisses des partisans de la thérapie génique dans le monde entier, le gouvernement français s’apprête à mettre en œuvre une gigantesque opération « vaccinale » dans les milieux scolaires à la rentrée, opération jeunesse inoculée pour « sauver les octa et les nonagénaires », tout en gardant les marmots bâillonnés avec des masques à l’école pour une autre année de grand délire covidique gouvernemental. Si l’on étend l’opération à l’ensemble des pays de l’Union européenne, à l’exception de la Suède qui continue de gérer cette folie aussi intelligemment que possible, il n’est pas difficile de comprendre que le dividende pharmaceutique s’élève sans problème à plusieurs milliards d’Euros.
Conclusion : du jugement des générations
L’instrumentalisation de la peur et l’art de manier l’amalgame à des fins totalitaires sont parties intégrantes de la gouvernance technocratique et centraliste aujourd’hui à l’œuvre sous couvert de « démocratie ». Le thème de l’urgence climatique met en œuvre les mêmes tactiques. La critique platonicienne des sophistes, du maniement rhétorique de concepts vides créant l’illusion d’une substantialité qu’ils n’ont pas, est d’une actualité saisissante.
Par l’usage éhonté du sophisme, la caste politicienne au pouvoir a prétendu faire appel au « sens des responsabilités » du peuple français, alors même que le gouvernement mettait en place l’unilatéralisme liberticide que l’on sait, et que l’on voit culminer aujourd’hui avec la prétendue conformité du « pass sanitaire » à la Constitution. Ah bon, réduire des personnes rationnelles, libres et responsables à un QR code, c’est cela la Constitution française ?
Ils n’auront donc honte de rien, et vont en conséquence tout essayer. Face au phantasme du virus présenté comme « mal absolu », la Bête monomaniaque cherche la massification « démocratique » de la pensée à coups de pression vaccinale et de sécuritarisme sanitaire illimité.
Dans cette vision effarante du monde, le décisionnaire salvateur de la terrible crise sanitaire n’est autre que l’État. Ses mesures « sauvent ». En particulier et par-dessus tout, le « vaccin » qu’il entend imposer « sauve », et de même le « pass sanitaire », puisqu’il permet de préserver les populations « vaccinées » de possibles contaminateurs asymptomatiques (comprendre, comme le veulent le bon sens et la raison, de gens en bonne santé).
Force est pourtant de constater que l’ « évangile » du salut par la « vaccination » en masse n’est pas encore parvenu jusqu’aux extrémités de la Terre. Pas même jusqu’aux extrémités de la France ! À croire qu’une bonne partie de la populace franchouillarde n'est pas du tout décidée à se laisser traiter comme des cochons d’Inde de Big Pharma et des esclaves de dirigeants aussi incompétents que criminels… À croire qu’il est bel et bien injustifiable de brader les libertés fondamentales des peuples (et les droits inaliénables sur lesquels reposent ces libertés) en raison d’un virus ne posant aucun danger particulier pour 99,9 % de la population... Attention cependant, en appeler à la logique la plus élémentaire pourrait bientôt ne plus être légal. Ne nous restera alors, comme on peut en fait déjà le voir à ce stade avancé de délire collectiviste de nos élites bonimenteuses, que la contre-offensive de la désobéissance civile. On peut d’ailleurs rappeler au passage qu’il existe un fondement théologique souvent oublié au recours raisonnable et donc légitime à la désobéissance civile. Selon saint Thomas d’Aquin, pour ne citer que lui, si l’autorité d’un dirigeant est injuste parce qu’il est un usurpateur, ou s’il décrète et promulgue quelque loi inique et par-là injuste, les sujets de cette autorité civile ne sont pas obligés de lui obéir [9].
Nous avons assisté, ces dernières semaines de démonstrations publiques contre le coup d’État macroniste du 12 juillet, contre le ségrégationnisme inqualifiable et contre la répression hygiénique illégale qui en découlent, au festival habituel de mensonges éhontés des falsificateurs médiatiques professionnels. Alors qu’ils continuent de diffuser sans vergogne des chiffres anxiogènes majorés de « cas » présentés comme des « personnes malades » (seuls les covidiots ne font pas la différence), ils omettent sans surprise de signaler l’ampleur réelle de ces manifestations croissantes dans plusieurs centaines de villes à travers la France [10].
Il s’agit pourtant, n’en déplaise aux engeances falsificatrices de la planète Fake News, d’un mouvement impliquant des millions de personnes qui va continuer à croître et à s’étendre à mesure que nous nous rapprochons de la fin des vacances d’été.
Les fous furieux du « protéger à tout prix » (qui sont également les abrutis finis de l’objectif « zéro émission de gaz à effet de serre », emboîtant le pas de clowns décérébrés hollywoodiens ou sportifs pontifiant à la télévision et sur Twitter au nom de « l’altruisme » et de la « protection de la planète »), comme les raconteurs indécrottables de fausses nouvelles, ont bel et bien cessé d’habiter dans le monde réel. Ils ont peur de la vie, peur de la mort, peur de tout – sauf de leur propre stupidité... On a vraiment du mal à y croire. Je vous avoue me pincer tous les jours, face à cette déferlante d’irrationalité, de lâcheté et de mensonges quotidiens. Ne pas vouloir attraper la moindre maladie relève de la démence. Autant s’arrêter de vivre sur-le-champ (ce qui relève pareillement de la démence). Objectif zéro virus, zéro émission, … On nous a fait vivre pendant trop longtemps dans le délire, la lâcheté, et l’immunisation par rapport à la raison.
Imaginez (chose digne d’une vraie méditation), le jour du Jugement dernier, la honte qui s’abattra avec justice sur cette génération, face à l’héroïsme des saints et des saintes de Dieu, et de tant de générations passées ayant dû traverser et surmonter sans murmures d’immenses épreuves et souffrances, dont nous sommes tout-à-fait incapables d’imaginer l’ampleur.
L’exploitation de la peur covidique est un scandale et une infamie, au service de la surveillance, de la servitude, et de l’infantilisation des peuples. Et la bêtise qu’elle continue de générer au quotidien est l’antithèse de l’édification. Puisse la force d’âme de nombreux Français aujourd’hui dans la rue apporter la victoire sur la surenchère, la tromperie, et la dictature sanitaire – qui ne fait que camoufler la dictature pure et simple.
Et puisse-t-elle inspirer le courage là où il a été absent jusqu’à présent.
Notes
[1] Se révélant être un système de contrefaçon moderniste dès qu’on applique objectivement, sans céder à la sélectivité fallacieuse, les principes traditionnels de la théologie catholique.
[2] https://www.washingtonpost.com/religion/2021/03/05/catholic-bishops-vaccine-abortion-fetal-tissue-moral-coronavirus/. Cela va directement dans le sens de l’appel du pape aux nations du monde entier, à l’occasion de la fête de Noël 2020, pour qu’elles partagent les nouveaux « vaccins » anti-Covid avec « toutes les régions de la planète ». Appel à une « vaccination universelle » du représentant de « l’Église profonde » (pendant ecclésiastique moderniste de l’État profond), également pour contrer « le virus de l’individualisme radical […] et des nationalismes fermés » (https://www.vatican.va/content/francesco/fr/messages/urbi/documents/papa-francesco_20201225_urbi-et-orbi-natale.html). Il fit aussi savoir, lors d’un entretien à une chaîne de télévision italienne quelques jours plus tard, qu’il considérait la « vaccination » contre le coronavirus comme une « obligation éthique » : https://www.la-croix.com/Religion/Le-pape-incite-faire-vacciner-fustige-negationnisme-suicidaire-2021-01-09-1201134001.
[4] http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=maladies&mal=25 (pour suivre l’évolution du taux de l’indicateur Infection respiratoire aiguë, ou IRA) ; http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=bulletin (pour accéder aux bulletins hebdomadaires du réseau Sentinelles).
[5] https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps
[6] Le docteur José Luis Sevillano (Vimeo).
[7] L’oxyde de graphène est de loin le principal composant de ces injections, avant l’ARN messager et les traces de matériel génétique en provenance de fœtus avortés, et c'est un agent de coagulation important.
[8] Tous les atomes de toute matière comportent des sources inhérentes de magnétisme en vertu du spin des électrons, lequel fournit un moment magnétique. Qui plus est, les orbites des électrons intra-atomiques constituent des boucles de courant qui induisent naturellement un champ magnétique inhérent à la matière. Pour autant, un conducteur donné, de type supraconducteur, manifestera un effet dit « diamagnétique » en fonction de la variation d’un champ magnétique extrinsèque (agissant sur le conducteur en question), puisque des courants sans résistance sont générés au sein de ce même conducteur pour contrer les variations du champ magnétique.
[9] « […] dicendum quod principibus saecularibus intantum homo obedire tenetur, inquantum ordo iustitiae requirit. Et ideo si non habeant iustum principatum sed usurpatum, vel si iniusta praecipiant, non tenentur eis subditi obedire, nisi forte per accidens, propter vitandum scandalum vel periculum. » (« On est tenu d’obéir aux princes séculiers dans la seule mesure requise par un ordre fondé en justice. Et c’est pourquoi, si les chefs ont une autorité usurpée, donc injuste, ou si leurs préceptes sont injustes, leurs sujets ne sont pas tenus de leur obéir, sinon peut-être par accident, pour éviter un scandale ou un danger. »)
[10] Ils ont osé parler de « 14 250 manifestants » (pour être précis) le samedi 31 juillet à Paris, où se sont tenues trois gigantesques manifestations, dont voici un petit aperçu d’une minute, pour rétablir quelque peu la vérité factuelle : https://www.youtube.com/watch?v=brOe9KL18ng.
* Sur le travail critique de Sébastien Renault: Cet article est un appel à mobilisation qui vient clore une série de réflexions composées et regroupées par Sébastien Renault sous l'intitulé ÉLÉMENTS POUR UN VRAI DIALOGUE, série destinée à constituer la première partie d'un ouvrage monumental intitulé À TEMPS ET À CONTRETEMPS, dont le site Entre la Plume et l'Enclume a déjà publié une série de chapitres constituant la deuxième partie. L'auteur s'explique : "Les extraits choisis et compris dans cette première partie sont tirés de notre correspondance avec différents interlocuteurs et auteurs, français pour la plupart. Ils constituent comme une mosaïque d’essais miniatures et d’éléments pour un dialogue. Nous les publions donc ici un peu comme on jetterait une bouteille à la mer, d’abord pour la voir flotter joyeusement, puis débouchée, voire même, peut-être, « déchiffrée » avec curiosité...". Comme le verra le lecteur intéressé, nous présentons une panoplie thématique visant à situer, dans la pluralité disciplinaire qui nous occupe le plus souvent, l’unité d’une réflexion qui se construit au jour le jour, selon la dialectique de l’ « à temps » et du « contretemps », dialectique que nous empruntons au grand saint Paul. Puisse son intelligence évangélisatrice et sa charité nous servir .