Publié le 05/02/2021
- Cette étude (encore incomplète) est intitulée "Histoire du Covid".
En fait il s'agit essentiellement d'une analyse très "fouillée" des
données disponibles pour comprendre l'origine du coronavirus SARS-CoV2.
Elle met en cause de façon essentielle la responsabilité de la Chine,
tant pour le passé que pour l'avenir. Encore une fois Trump n'avait
peut-être pas tort !
- Le rôle des "scientifiques", sub specie Institut Pasteur, dans la
destruction de la France que nous subissons (voir chap. 8) n'est sans
doute pas négligeable du tout, et en tout cas, sur ce plan là, inconnu !
- La technicité de ce texte fait qu'il demande parfois quelques
efforts. Ils en valent la peine. Par ailleurs ce texte semble hors de
portée, pour ne pas dire à des années lumières, du journalisme français
actuel. Par l'extension des références , comme par la technicité des
analyses, il ne peut être que le résultat d'un travail d'équipe, et très
compétente. Une source de renseignement militaire spécialisé?
- Il s'agit de la concaténation de 19 articles (sans doute 21 ou 22
à l'état final) faite à partir des publications du site de
"France Soir", et ce afin d'en rendre la lecture plus aisée, les
articles ayant été publiés tout au long des six derniers mois. Chapeau les artistes !
Publié le 24/08/2020 à 08:18 - Mise à jour le 30/12/2020 à 20:56
Histoire de la Covid-19 – chapitre 1 sur 8
Histoire du Covid-19 – chapitre 1
Auteur(s): Valère Lounnas Ph.D. et Dr. Gérard Guillaume pour FranceSoir
Partie 1 - Le marché aux fruits de mer de Wuhan, un coupable peut-être tout désigné ?
Connaître avec exactitude le point de départ géographique (épicentre ou point zéro) d'une épidémie est primordial pour en identifier la source biologique (réservoir) et le mode de transmission à l'homme (vecteur). Cela permet ainsi non seulement d'éradiquer le foyer initial, ce qui est de toute évidence la première des mesures d'endiguement de l'épidémie, mais aussi de comprendre les mécanismes d'interaction de l'homme avec son environnement et les circonstances qui ont conduit à son déclenchement. Tout cela dans le but essentiel d'anticiper les résurgences possibles de l'épidémie et donc de faciliter son contrôle ultérieur.
Identifier le point de départ d'une épidémie se compare donc à une enquête policière et doit se résoudre avec la même minutie. De l'exactitude des premières constatations découle inéluctablement la réussite de l'enquête. Il est important, donc, que le plus grand nombre d'éléments potentiellement indicatifs des faits soient collectés et rassemblés le plus tôt possible. Dans les enquêtes policières il arrive parfois que l'on ne connaisse pas la scène du crime, le corps de la victime ayant été déplacé pour dissimuler le crime ou qu'il ne soit signé de façon trop évidente et ainsi empêcher toute enquête. Les enquêteurs doivent alors procéder à un long travail méthodique d'investigation et de recoupement de faits sur les circonstances de la disparition de la victime sans garantie d'aboutir.
Avant de rentrer dans le détail de l'analyse concernant l'épicentre exact de l'épidémie, il est utile de faire une digression importante pour rappeler que la presse internationale et française ont pris l'habitude de dénommer systématiquement le virus de la pandémie Covid-19 comme étant le « nouveau coronavirus » ou SARS-Cov2. Un acronyme anglais qui signifie en français : deuxième coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère, en référence à un coronavirus très similaire, le SARS-Cov, dont l'épidémie de 2002-2003 avait touché 30 pays et aurait pu devenir une pandémie mondiale si elle n'avait pas pu être jugulée à temps. Ce terme, mis à toutes les sauces rédactionnelles, véhicule de façon involontaire, mais évidente une information essentielle qui, comme nous le montrerons dans la suite de cet article, contredit le discours de nos gouvernants, en France et en Europe, qui s'acharnent à nous dire que l'on est dans un processus historique où on apprend tout d'un virus nouveau et de sa maladie associée.
Cela relève de la désinformation et de la manipulation de masse. Car s'il est vrai que la pandémie a atteint une ampleur mondiale au moins mille fois plus considérable que celle de 2002-2003, qui n’avait fait que 776 morts pour 8000 personnes ayant présenté des symptômes (taux de létalité 9,6%), il n'en reste pas moins que cette maladie était causée par un virus très proche du SARS-Cov2. Elle se présentait également sous la même forme de pneumonie atypique avec des conséquences respiratoires drastiques, incontrôlables, menant une grande proportion de patients atteints à des situations de mise sous assistance respiratoire mécanique et coma artificiel pendant une période de 10 jours à 3 semaines ! Une des différences essentielles avec le SARS-Cov2 est que la période d'incubation était beaucoup plus courte et la progression vers l'atteinte respiratoire plus rapide. Nous voyons donc que l'affirmation d'une maladie entièrement nouvelle ne tient pas, mais qu'elle permet, par contre, d'éviter un débat qui exposerait les raisons pour lesquelles aucune mesure n'a été prise pour prévenir la résurgence d'une telle maladie, ni aucune mesure prise pour anticiper l'arrivée massive de patients en réanimation. Cela a permis également de porter le débat médiatique dans les premiers jours de l'épidémie en France sur la fausse question de l'identification du réservoir animal qui est, comme nous le verrons par la suite, sans contestation possible la chauve-souris.
La seule question étant de savoir comment le SARS-Cov2 a franchi la barrière des espèces, soit directement, soit via un hôte intermédiaire, ou soit encore à la suite d'une manipulation de laboratoire. Pour le SARS-Cov il avait été établi que l'hôte intermédiaire, entre la chauve-souris et l'homme, était la civette palmiste, un gibier d'élevage vendu vivant sur le marché aux fruits de mer de Canton ! Il semblerait que là aussi il n'est pas dans l'intérêt de nos gouvernants que ces deux épidémies soient mises en rapport l'une avec l'autre sur le plan de l'infectiologie. Deux types de questions se posent immédiatement :
1 A l’aune de ce que nous expliquons au premier paragraphe, sur la prévention des résurgences, les citoyens du monde sont en droit de demander à l'OMS pourquoi, après qu'il ait été établi scientifiquement que la source de la pandémie hautement mortelle de 2003 était le marché aux fruits de mer de Canton, la Chine n'a pas fermé ses autres marchés aux animaux sauvages comme celui de Wuhan que les autorités chinoises ont très rapidement présenté comme l'origine de l'épidémie locale de Covid-19 ? Il y a là une des défaillances notoires de l'OMS actuellement contrôlée par la Chine avec le mandat de son président actuel, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, élu Directeur général de l’OMS pour un mandat de 5 ans, en mai 2017.
2. Outre la mise en cause de leur responsabilité par leur incurie, les gouvernants risqueraient de devoir répondre en détail sur les raisons des très grandes craintes qu'ils affichent ...
Texte complet à lire ici: