Revue de presse juin 2018

Publié le 25/06/2018

  • Revue de presse juin 2018

- bvoltaire.fr/conflit-israelo-palestinien-dordre-religieux-metaphysique/

Racisme anti-noir déchaîné dans les pays arabes :

chroniquepalestine.com/racisme-anti-noir-outrancier-inonde-televisions-arabes-periode-ramadan/

- Rabbins indésirables :

https://fr.timesofisrael.com/la-russie-multiplie-les-expulsions-de-missionnaires-etrangers-dont-des-rabbins/

- Il faut sauver Julian Assange, la gauche est complice de son assassinat à petit feu. "Le grand soir"  fait de son mieux pour le protéger: "L’énorme quantité d’informations provenant de WikiLeaks, en particulier ces dernières années, constitue un service public extraordinaire" .  Dernier article en date:

https://www.legrandsoir.info/l-etrange-silence-de-la-gauche-sur-julian-assange-mint-press-news.html

Voir aussi, sur l'urgence, face à l'étau qui se resserre, la trahison de l'Equateur etc : https://www.legrandsoir.info/une-conspiration-se-fait-jour-pour-livrer-julian-assange-aux-gouvernments-britannique-et-americain.html

- Le rapprochement entre la Russie et les US : cela se concrétisera après les élections de la mi-mandat pour Trump

/francais.rt.com/international/51629-donald-trump-la-crimee-est-russe-parce-que-tout-le-monde-parle-russe-en-crimee

- Répression de la pensée : les procès et les condamnations se multiplient, contre nos penseurs (les noms qui résonnent ces temps-ci: Ryssen et Soral). Heureusement, on a une ministre de la culture qui affiche sa bêtise, qui révèle le pot aux roses du projet de privatiser la propagande, de serrer la vis aux médias et aux autres médias plus vivaces et plus populaires,  bref de raser la pensée autant que l'information. Parfait, on sait sur qui et quoi il faut tirer. Déjà l'opération Mamadou a eu un faible rendement, les généreux reportages de Euronews ne sont vus que par les intellos... ça manque d'imagination, madame Nyssen, tout ça!

 http://russiepolitics.blogspot.com/2018/06/europe-vers-la-fin-officielle-de-la.html

- Pedro Varela est libre ! Incarcéré depuis le 3 avril 2018, l’écrivain, éditeur et libraire catalan a recouvré la liberté après deux mois de détention (la peine prévue était de trois mois).

 

Cette décision fait suite à un appel interjeté par son avocat à propos du mandat d’arrêt émis contre Pedro Varela, ce qui prouve que cet emprisonnement ne relevait pas de la légalité et ouvre la porte à un procès contre le procureur de la haine de Barcelone.

Il est donc désormais inutile d’écrire à Pedro Varela en prison mais un soutien financier est le bienvenu pour compenser le manque à gagner de deux mois d’absence à la librairie EUROPA à Barcelone.

Son courriel : [email protected]

Pour information : très actif dans cette affaire, le magistrat Santiago Vidal, juge auprès de la Haute Cour de Barcelone, a déclaré que Pedro Varela était « indésirable en Catalogne ». Ce fervent promoteur du séparatisme catalan mise en effet sur « Israël et l’Allemagne pour financer un État catalan détaché de l’Espagne et adhérer à l’Union européenne ».

 

- Curiosités malsaines:

Marché de l'horreur à Milan : 11 000 euros pour une tenue ensanglantée de déporté

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Militalia, une foire pour les amateurs de souvenirs de guerre, se tient depuis 1969 à Novegro, dans la province de Milan. Il est consternant d’y trouver des vêtements sales de déportés dans « la plus importante exposition italienne de souvenirs de guerre ».
Cet événement fascinant attire la foule. Dommage, comme le dit le quotidien « La Repubblica », que vous soyez confronté à un spectacle horrifiant, avec des uniformes sanglants à vendre : « Je crois vraiment que c'est du sang », assure un vendeur à un journaliste de « La Repubblica ». Et pourtant « ça coûte 11 000 euros, j'en ai eu deux, mais j’en ai déjà vendu un à un musée de Vancouver ». [Les plus gros pigeons viennent du Canada !]
Tout cela en montrant les taches de sang sur l'uniforme d'un prisonnier de Dachau. Le marchand bien achalandé explique :« je m'accroche aussi » (sic). Sur l'uniforme, il y a aussi le numéro d'immatriculation. C'est le numéro 24597.
Comme nous le lisons dans le journal fondé par Eugenio Scalfari [La Repubblica], le vendeur – à l’enseigne de de « Manattini Jessica, de Pietrasanta (Lucques) » –affirme qu'il a vendu pour 400 euros l’unité « quelques boîtes de Zyklon B utilisées dans les chambres à gaz. » En plus de ces reliques effrayantes, il y a encore des matraques de Mussolini et des vareuses nazies, en passant par des croix gammées et des bustes de Hitler. Le propriétaire du stand « Rbnr Militaria » à Prato explique que « 80% de notre marché est constitué d'amateurs de souvenirs nazis ».
Quelqu'un, cependant, se pince le nez. Tel est le cas de Marcello Pezzetti, l'un des principaux historiens de l'Holocauste, qui n'a pas voulu faire de commentaire, mais souligne qu’il s’agit d’« une affaire judiciaire avant d’être éthique ou historique, puisque le matériel est nazi, il appartient d’abord à l'Etat allemand, ensuite au Musée de Dachau et, si ces vêtements étaient portés par des victimes, ils ne peuvent être vendus sans autorisation ».


http://www.ilgiornale.it/news/milano/milano-market-dellorrore-11mila-euro-divisa-insanguinata-dei-1533125.html