« Comment prévenir la prochaine pandémie » selon Bill Gates of Hell

Publié le 12/06/2022

  • « Comment prévenir la prochaine pandémie » selon Bill Gates of Hell

[Selon Michel Dogna, "les populations se réveillent (grâce à Internet) plus vite que prévu de l’hypnose collective auxquelles elles ont été massivement soumises, et prennent conscience plus ou moins dramatiquement qu’on les a grugés avec les vaccins. Les amateurs de la troisième injection ARNm sont en chute libre et la quatrième qui sent l’histoire sans fin est avortée d’avance. Bref l’histoire du covid et de ses vaxxs empoisonnés ne marche plus !]

Alors la clique Big pharma et l’OMS nous ont sorti en toute hâte de derrière les cartons un plan B : « la variole du singe » dont j’ai déjà brièvement parlé dans ma dernière newsletter et qui est bien sûr encore une invention de laboratoire. La preuve comme le faisait remarquer le valeureux professeur Péronne et notre ami Antoine de l’Alliance Humaine, les régions (Afrique, Chine, Inde, Océanie) qui sont truffées de singes n’ont pas de cas de la maladie –  alors que les régions atteintes (Amérique du nord, Europe) n’ont aucuns singes. Bizarre, non ? En tout cas, la recette est toujours la même : une maladie épouvantail bénigne pour amener à un vaxx empoisonné  (non pas bricolé à la hâte devant l’urgence comme le croient beaucoup…)

Par ailleurs l’assemblée mondiale de la Santé a récemment débattu sur la réforme du Règlement Sanitaire Mondial que le Deep State US souhaite amender, pour permettre aux responsables régionaux de l’OMS de prendre des mesures vaccinales jugées urgentes par-dessus les gouvernements en cas « d’épidémies ». Face à ce projet liberticide, parmi les 170 états reliés à l’OMS, l’Europe et bien sûr Macron ont dit oui, MAIS… 126 pays ont dit NON.
Caramba ! Encorrre rrraté !!!" https://micheldogna.fr/panique-de-letat-profond/

Et voici encore un coup de pouce énergique et savant, pour accélérer la chute des dominos :

Persistance vaccinaliste illogique et planification messianique pour un monde imaginaire post-virus (extrait)

par Sébastien Renault

La dangerosité relative du SRAS-CoV-2 a désormais considérablement diminué, sans jamais avoir été significative pour plus de 99 % de la population mondiale au pire de cet épisode pandémique. De nombreuses personnes « vaccinées » n’en vivent pas moins toujours dans la crainte paranoïaque des « rebelles » non-vaccinés ; alors même que la logique qui les a conduits à rechercher dans le « vaccin » et ses multiples doses de rappel une protection qui leur a été maintes fois certifiée par l’État (ses médias et ses médecins si dignes de confiance) devrait leur apporter quiétude et tranquillité d’esprit, puisqu’ils sont protégés !

Pourquoi alors la persistance de cette politique malsaine d’antagonisme discriminatoire et cette psychologie irrationnelle de la peur d’autrui derrière la protection que le nouveau « vaccin » est censé conférer ? Se pourrait-il que ceux qui ont été inoculés plusieurs fois – et qui continueront à le faire, quoi qu’il arrive, chaque fois qu’une nouvelle dose sera promulguée et commercialisée – ne croient pas vraiment à la protection immunitaire de ces traitements synthétiques pour le moins préoccupants ?

Cette situation étrange où les personnes « vaccinées » contractent le virus plus souvent que les personnes non-vaccinées s’explique simplement. Un grand nombre de non-vaccinés ont développé une immunité naturelle, plus durable que l’immunité vaccinale.

Pour les besoins de l’argument, admettons que les personnes « vaccinées » auraient « moins de chances » d’attraper le SRAS-CoV-2 (quand bien même les données scientifiques indiquent clairement qu’elles accumulent une charge virale aussi élevée, sinon plus élevée que les personnes non-vaccinées). Or, en théorie comme en pratique, il suffit d’une seule personne vaccinée et infectée (ou réinfectée) pour que le virus se propage… à tout le monde !

Dès lors, autoriser les seules personnes « vaccinées » à travailler – notamment en milieux hospitaliers – ou à participer à tel grand rassemblement public, alors qu’elles pourraient être au moins tout aussi porteuses du SRAS-CoV-2 que les personnes non-vaccinées, ne relève évidemment d’aucune logique qui puisse se justifier sur la moindre base scientifique.

Si les nouvelles injections protégeaient vraiment les gens de l’infection et de la propagation du SRAS-CoV-2, les personnes « vaccinées » n’auraient aucunement à craindre les personnes non-vaccinées. D’où la question, des plus pertinentes : pourquoi les personnes « vaccinées » craignent-elles toujours autant les personnes non-vaccinées ? Si le « vaccin » est protecteur, pourquoi la phobie infectieuse persiste-t-elle ?

En fin de compte, les personnes aujourd’hui « vaccinées » et « boostées » x fois savent pertinemment (expérimentalement) qu’elles peuvent toujours contracter le virus. Les « vaccinées » se sont indûment rassurés en se persuadant que même s’ils contractaient le virus, ils seraient en quelque sorte moins susceptibles de le propager – ce qu’aucune science ne corrobore ! En toute logique, les « vaccinés » devraient donc se montrer tout aussi prudents vis-à-vis d’autres personnes « vaccinées », qui peuvent toujours contracter et propager le SRAS-CoV-2.

En soutenant, à tort, que les personnes vulnérables encourent un risque plus élevé d’infection au contact des personnes non-vaccinées, autrement dit un risque faible voire inexistant au contact des personnes « vaccinées » (ce qui s’avère complètement inexact, puisqu’on voit depuis des mois que les injections à ARN messager sont elles-mêmes des vecteurs viraux favorisant l’émergence de nouveaux variants), l’antagonisme discriminatoire vis-à-vis des non-vaccinées se perpétue sur un mensonge perceptif confortablement installé dans la psyché collective.

Ce qui gratifie naturellement les personnes « vaccinées » d’un faux sentiment de sécurité, doublé à l’occasion d’un sentiment de supériorité, en les conditionnant à croire qu’elles ne sont pas en état de propager des charges virales élevées, quand bien même les données de la science démontrent le contraire. En soutenant, à tort, que seules les personnes non-vaccinées peuvent aujourd’hui propager le virus, on induit en erreur les personnes « vaccinées » peu informées (par média-dépendance), en leur faisant croire qu’elles ne sont pas en état de propager le SRAS-CoV-2…

Cette contrevérité perceptive alimente une peur et une aversion très dommageable envers les personnes non-vaccinées, alors qu’en réalité, nombre d’entre elles ne présentent aucun danger en raison de leur immunité naturelle supérieure à celle des personnes « vaccinées », « boostées » et « re-boostées ».

La politique de stigmatisation ségrégationniste des personnes non-vaccinées n’est donc pas fondée sur la moindre science, sinon dans les esprits encore naïfs et aveuglés par le scientisme médiatique de bas-étage (celui dont raffolent Macron et sa clique, qui se croient les gardiens de la rationalité en France). La logique lui fait cruellement défaut, ce pourquoi nous la voyons soutenir, depuis son introduction étatique, une peur et une haine irrationnelles dont il nous faut enfin revenir.

Homogénéisation et saturation de la réponse immunitaire des populations ?

Selon toute vraisemblance, et malgré le fait que les médias des pouvoirs s’entendent à ne jamais rapporter vraiment la réalité des faits, c’est bien l’opération universelle d’injection des peuples à coups de substances à ARN messager qui aura constitué le principal vecteur d’aggravation de la pandémie, en conditionnant le système immunitaire des populations « survaccinées » à barrer la route à une configuration obsolète de la protéine de pointe originelle du SRAS-CoV-2 (configuration en provenance de Wuhan en fin 2019).

Une tendance croissante aux réinfections chroniques est observée depuis début la fin 2021 sur la base de variants de la souche « Omicron ». Une infection consécutive à la « vaccination », comme on l’a vu dans les pays les plus portés à la fièvre vaccinale « moralement » obligatoire, va générer une protection très limitée contre de nouvelles réinfections ; contrairement à la protection naturelle dont jouira un patient non-vacciné, sans immunodépression sous-jacente, après avoir été naturellement infecté.

À travers la poursuite unanimiste effrénée de ses campagnes d’injections répétées, l’univers gouvernemental du covidisme institutionnel, aux commandes des politiques sanitaires aux quatre coins de la planète, interfère effectivement depuis des mois avec les mécanismes d’actualisation naturelle de l’immunité collective. De telle sorte que le système immunitaire des populations aujourd’hui conditionnées par la protéine de pointe constitutive de la forme originelle du SRAS-CoV-2, ne peut plus s’adapter, ou très difficilement, à la diversité génétique de ce virus donnant lieu à l’apparition de nouveaux variants. À mesure que la diversité génétique d’un tel virus augmente, le déploiement de « vaccins » déjà structurellement propices à la production d’anticorps vecteurs de réinfection, joue inévitablement contre la capacité des populations à acquérir une protection immunitaire durable. Telle est l’essence de l’illogicité de fond de cette persistance « vaccinale », malgré tous les éléments de réalité factuelle indiquant à tout observateur un tant soit peu avisé qu’il s’agit-là d’une approche de la santé publique qui marche à l’encontre du but recherché, aujourd’hui déjà, et, on ne peut que le craindre, plus encore sur le long terme.

Aujourd’hui, avec de plus en plus de victimes d’immunosuppression renforcée par la folie « vaccinale » ayant conduit à l’homogénéisation de la réponse immunitaire de vastes pans de la population mondiale, un nombre grandissant de personnes sont en passe de devenir de véritables terreaux de reproduction pour de nouvelles souches et mutations du SRAS-CoV-2. Scénario idéal pour quiconque voudrait effectivement maintenir le monde ad vitam aeternam sous le poids mental et économique du conformisme numérique à l’autoritarisme sanitaire légiféré par le covidisme d’État. Ce qui justifierait bien, aux yeux de l’oligarchie politico-sanitaire se plaçant bien entendu au-dessus de la loi au nom de l’état d’urgence, l’illogicité manifeste de leur persistance à pousser à la « vaccination » (contre quoi ?), y compris des enfants en parfaite santé [5] – lesquels ont été implacablement ciblés et contraints à l’imposition de mesures thérapeutiques qu’on applique normalement aux seuls patients à risque, alors même que l’on sait pertinemment que le taux de mortalité infantile lié au SRAS-CoV-2 est proche de zéro (à l’exception d’une poignée d’enfants immunodéprimés).

Les solutions de monsieur « Portes » de l’Enfer

Difficile de ne pas soupçonner un vaccinolâtre avéré et assumé comme Bill Gates, spécialiste de santé mondiale, de ne pas envisager un tel scénario (et d’instruire l’OMS, avec l’autorité mammoniste de ses nombreux milliards, à en promouvoir l’actuation). Redoublant d’insultes, mais sous couvert d’ « expertise » épidémiologique et de philanthropisme dégoulinant, Gates a récemment publié un livre [6] dans lequel il met en garde contre les pandémies qui approchent et prétend faire état d’un programme de prévention des erreurs commises dans la gestion de la grande crise covidienne toujours en cours.

Gates s’émerveille notamment de la Corée du Sud pour son protocole agressif de traçage des contacts, qui, selon lui, lui aurait permis de réduire « à zéro » (un gros mensonge !) les nouvelles infections et d’atteindre, en conséquence, à un très faible taux de mortalité (Gates ment ici également de manière éhontée, chose aisément établie à la lumière des effets secondaires gravissimes et du nombre de décès de plus en plus manifestement rattachés aux « vaccins » anti-Covid, selon des données déjà documentées en Corée du Sud faisant état l’an dernier des trop nombreuses victimes du « vaccin » Pfizer chez les jeunes travailleurs, les étudiants et les adolescents [7]). Il salue en outre le fait qu’un tel résultat ait bien sûr dû impliquer la mise en œuvre de méthodes somme toute quelque peu « radicales » – comme, par exemple, l’accès aux enregistrements des téléphones portables des citoyens sud-coréens afin d’identifier leurs contacts potentiellement « positifs » les plus récents. À en croire l’informaticien milliardaire, la mise en œuvre progressivement universelle du flicage intégral selon le modèle du contrat social à la chinoise serait un progrès… Nos amis asiatiques (chinois et coréens) nous montrent le chemin, suivons-le sans tarder !

Gates fait également l’éloge du Japon pour son expertise dans l’utilisation des masques ; de l’Australie pour sa capacité à effectuer des tests PCR précoces (quand bien même les personnes directement impliquées dans la conception de la technologie PCR savent pertinemment qu’elle ne constitue pas un moyen de diagnostic fiable) ; et d’Israël pour avoir réussi à obtenir un accès rapide aux « vaccins » (et pour quels résultats particulièrement spectaculaires, que nous avons ailleurs commenté [8] !) …

Pour couronner le tout et pour sceller l’insulte qu’il se croit autorisé de proférer en toute tranquillité à l’intelligence du reste du monde, Gates chante enfin les louanges de l’industrie de la recherche pharmaceutique, à laquelle il prétend rendre hommage pour être parvenue à mettre au point et à distribuer en un temps record (effectivement, moins d’un an) « des vaccins efficaces et viables » – grâce au fait, en particulier, que les entreprises pharmaceutiques ont été financièrement habilitées à investir dans des technologies hautement spéculatives (bricolages de type ARN messager synthétique en phase d’expérimentation clinique, mais dont la recherche ne souffre aucune transparence publique ni n’implique la moindre prise de responsabilité éthique), sans avoir à en justifier le risque auprès des investisseurs. Et, en fait, telle était bien la condition de possibilité d’une distribution aussi rapide de ces nouvelles substances « vaccinales » à travers le monde entier, à savoir le contrat passé entre les gouvernements et les entreprises pharmaceutiques fournisseuses pour accorder à ces dernières, dès le départ, l’exonération de santé publique (en cas, très peu hypothétique, d’effets secondaires de ces nouveaux produits).

Gates, dont le nom, curieusement, signifie « portes » en anglais, veut donc ouvrir les portes de l’Enfer vaccinal et du contrat social chinois universalisé pour « protéger les peuples » des futures pandémies. C’est dans cet esprit qu’il vient aujourd’hui faire l’apologie du désastre et des souffrances qu’ont apporté les politiques du doctrinarisme sanitaire assumé par nos criminels gouvernementaux, en faisant croire que ces malheurs et ces souffrances ont avant tout procédé d’une épidémie face à laquelle le monde manquait de préparation digne de ce nom (faute des solutions étatiques renforcées sur lesquelles nous pouvons désormais compter). Comme si la faute était, en définitive, celle du virus et de ceux qui, par leur résistance à la tyrannie sanitaire mondiale, ont préféré le virus aux mesures dictatoriales aussi ineptes que calamiteuses du covidisme étatique, en vigueur jusqu’à ce jour.

En un mot, Gates (of Hell), l’incarnation de l’obsession vaccinale et du pouvoir hégémonique financier permettant de la mettre en œuvre comme jamais auparavant, présente aujourd’hui la solution dont le monde aurait, selon lui, si cruellement besoin, en vue d’être « mieux préparé », principe de précaution oblige. Et il l’appelle GERM : Global Epidemic Response and Mobilization [9]. Terme qui, naturellement, s’écrit et se prononce exactement comme le mot anglais « germ » (en français, « germes », « microbe »), tant il est vrai que ces personnages « reptiliens » ne manquent jamais, derrière le parement des apparences humanitaires dont ils aiment s’auréoler, de laisser nombre d’indices et de signes toujours éloquents de ce qu’ils aspirent réellement, au final, à faire avancer.

En faisant entrer en scène GERM en tant qu’organe « préventif » de pandémie (après avoir fondé en l’an 2000 GAVI, la Global Alliance for Vaccines and Immunization [10]), Gates et l’OMS prévoient donc la mise en place d’un nouveau comité de travail chargé de s’attaquer au problème de pandémie, potentiellement chronique... Gates et GERM, basée à l’OMS, se placent donc à la tête officielle de l’« évangélisme » vaccinal pour faire face aux crises futures. Pour le « bien des peuples », Gates l’assure (et qui oserait en douter ?), même s’il faudra évidemment compter avec la fâcheuse mais nécessaire petite contrepartie d’un arsenal de mesures liberticides renouvelées, sécurité oblige. Il y a donc de quoi s’inquiéter.

Derrière les inspirations de salut sanitaire de Gates (of Hell) et consorts, derrière la persistance de l’illogicité covidique centrée sur l’ordre de la vaccinocratie unanimiste, c’est le contrôle social intégral des peuples au nom de la santé qui s’immisce comme « solution » à tous les dangers virologiques et autres qui se profilent déjà à l’horizon, quel que soit le degré effectif d’intentionnalité criminelle en provenance des « solutionneurs » eux-mêmes.

Car, ne nous y trompons pas, ces élites et promoteurs d’un nouveau régime de « vigilance sanitaire » interventionniste et liberticide sont avant tout experts en matière de solutions fictives auprès de populations docilisées et même complices de cet illusionnisme solutionniste, y compris des restrictions de leurs propres libertés [11]. Le fait même que la résistance organisée à cette réinitialisation intégrale du système mondial actuel [12] demeure en tout et pour tout un phénomène marginal à travers le monde, semble tristement indiquer qu’une certaine accoutumance des peuples à la nouvelle donne dictatoriale imposée à tous au nom de la « Santé » l’emporte aujourd’hui sur l’envolée d’indignation nécessaire au soulèvement populaire d’un grand mouvement solidaire de désobéissance civile.

L’observation ci-après de Machiavel, d’une perspicacité intacte, ne pourrait hélas mieux s’appliquer à une époque et à une situation qu’à celles qui sont les nôtres aujourd’hui :

« La meilleure forteresse des tyrans, c’est l’inertie des peuples… »  

Covidisme avec ou sans Covid : vers la cybersécurité post-liberté

Il suffit de considérer les « solutions » envisagées par Gates et ses partenaires sur le fondement des mesures « éprouvées » de répression et de contrôle sanitaire imposées en régime covidique d’État, pour saisir que la logique, la raison et la préservation de la liberté citoyenne n’entrent pas ici en ligne de compte. Les confinements, dont l’inefficacité n’a fait que se confirmer au gré de leur pérennisation forcenée, n’ont jamais été qu’une atteinte inavouée aux libertés des peuples, doublée d’un sabordage mortifère des économies. Les masques, ces morceaux de tissus très facilement auto-contaminateurs, dispositifs à la fois d’entrave à l’apport normal d’oxygène dans le sang et de ré-inhalation élevée de gaz carbonique, n’ont au final jamais été que des instruments de musellement des peuples et de suppression de leur parole libre… Les gestes barrières, tels des simagrées, n’ont le plus souvent constitué qu’une vilaine chorégraphie déshumanisante invitant les covidistes les plus zélés à quelque énième forme de signalement vertueux… Les « passes vaccinaux », arborés par des millions de personnes covidisées (infectées ou réinfectées par le SRAS-CoV-2) à la suite de leur passage par la case injection, n’ont jamais été qu’un dispositif de ségrégation sociale par lequel exercer une contrainte destinée, d’un côté à inciter les citoyens dits « responsables » à accumuler les « boosters » (une fois, deux fois, trois fois, …) ; de l’autre, à pousser les « faux-citoyens » indisciplinés, indignes et « irresponsables »,à céder à et rentrer dans le rang… Les élixirs « vaccinaux » non stérilisants, toxiques [13] et spectaculairement inefficaces face aux nouveaux variants d’un virus peu virulent mais très mutagène, n’ont finalement jamais été concoctés, semble-t-il, que pour fournir le motif de l’ultime imposition intrusive de la Bête étatique politico-médicale sonnant le glas de l’autonomie corporelle – objet pourtant sacro-saint et prisé au plus haut point, en témoigne le slogan « mon corps, mon choix » des militants pour le « droit » d’exterminer sa progéniture in utero ; qu’ils se gardent au demeurant d’appliquer à l’autonomie corporelle de l’enfant à naître, oubliant que lorsqu’une femme tombe enceinte, il en résulte bien deux corps distincts, deux battements de cœur distincts, deux profils d’ADN distincts, deux ondes cérébrales distinctes, deux empreintes digitales distinctes, et surtout, deux âmes distinctes. Et donc, par implication immanquable, deux choix distincts (qui devraient pourtant s’accorder vers le même objet), quand bien même l’enfant conçu ne peut encore le faire savoir (ce pourquoi la responsabilité de respecter le choix implicite de ce dernier, que manifeste le fait même de son existence encore cachée mais réelle, incombe non seulement aux parents, mais à toute la société, fondée sur le respect du droit inaliénable à la vie).

Les ingénieurs de la surveillance et du traçage des populations n’ont évidemment pas attendu l’avènement du covidisme d’État pour commencer d’œuvrer à l’étiolement graduel mais systématique des droits et des libertés individuelles au sein des « démonocraties » modernes. Pour nos dirigeants avides de tels retranchements, l’avantage de la folie covidienne et de sa redoutable contagiosité psychologique aura principalement reposé sur l’efficacité de la provocation et du maintien de cette peur épidémique qui la caractérise jusqu’à aujourd’hui. Jusqu’à amener les gens à exiger une « solution » de leur gouvernement, aussi inepte et corrompu soit-il (pensez à la macronie), pour satisfaire un désir excessif de sécurité.

Nous pouvons donc dormir sur nos deux oreilles, la traque numérique universelle de la populace[AdST1] , pour assurer la sécurité intégrale et prévenir les erreurs des pays moins coercitifs face à la diffusion du SRAS-CoV-2, n’est plus aujourd’hui tabou. On œuvre absolument pour notre bien en hautes sphères technocratiques, qui pourrait raisonnablement en douter ? Avec l’identification numérique, qui doit s’imposer d’ici peu [14], différents projets de puçage des populations poignent déjà à l’horizon. Non, la technologie de puçage n’appartient pas au domaine de la science-fiction complotiste. Il suffit de se rappeler des propos de l’inénarrable Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (connu, antérieurement, sous le nom de Symposium européen du management) :

« Ce à quoi mènera la quatrième révolution industrielle [industrie 4.0] est une fusion entre nos identités physiques, digitales et biologiques. »

Bill Gates et ses amis ingénieurs informaticiens de la cybersécurité sanitaire mondialisée ne font que s’aligner sur ce programme déjà largement avancé. L’instrumentalisation du SRAS-CoV-2 est donc pratiquement complète aujourd’hui, en 2022, alors même que la virulence du virus s’est affaiblie partout, à l’instar de tous les virus. De fait, les efforts déployés dans le monde entier pour « vacciner » les masses mentalement covidisées se sont quant à eux intensifiés. Le covidisme doit en effet continuer, avec ou sans Covid… 

Pour résumer

Avec l’expansion totalitaire du sanitarisme covidien pendant deux ans de pandémie et de conflits d’intérêts des autorités au pouvoir avec l’industrie pharmaceutique, relayé par la mise en branle va-t-en-guerre des inflationnistes mammonistes de l’hégémonie occidentaliste en Ukraine, nous avons vu les dirigeants au service de l’élitisme mondialiste s’arc-bouter sur les mêmes mesures unilatérales pour aboutir à la ruine de la santé et des moyens de subsistance des nations, avec toute l’arrogance et la condescendance d’une caste se plaçant résolument au-dessus des lois. C’est dans cet esprit de supériorité cynique et dédaigneuse, mais parée des vêtements du signalement philanthropique vertueux, que s’imposent aujourd’hui aux peuples laminés les différentes « solutions » de cette même engeance de serpents autocrates.

En ces temps de corruption systémique, « l’amélioration de l’état du monde », selon l’ordre de mission messianique du Forum économique mondial, passe par les instances privées des acteurs d’influence ultra-riches [15]. Ce sont elles qui poussent à la reconfiguration technocratique de nos vies de « citoyens du monde », afin de les « améliorer » selon une vision néo-malthusienne globale de l’économie et de la société mondiale. Ce qu’elles ne peuvent accomplir de manière effective et durable sans s’allier d’abord au pouvoir des États, pour en préserver les structures fondamentales. Puis, au final, pour les organiser à des fins « supérieures », c’est-à-dire supranationales. Au royaume du covidisme, comme du réchauffisme, ce sont les agences de planification qui règnent en maître, en dehors de tout processus électoral, pour sanctionner l’ordre de la technocratie écolo-sanitaire au service de la gouvernance mondiale. Il n’est pas difficile d’en conclure qu’en conséquence, le programme de « vaccination » néo-malthusien aujourd’hui en place ne reculera pas de sitôt.

________________________

[1] Notre anthropomorphisme se veut ici révélateur, au sens ou l’idéalisation écologique de plus en plus prononcée de la nature et de l’environnement donne une mesure assez exacte de sa tendance opposée, à savoir la déshumanisation de l’homme et de sa nature humaine.

[2] Lien des données publiques de la Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES): https://data.drees.solidarites-sante.gouv.fr/explore/dataset/covid-19-resultats-par-age-issus-des-appariements-entre-si-vic-si-dep-et-vac-si/information/.

Ci-après, diagrammes récapitulatifs de la DREES, mois par mois : https://app.powerbi.com/view?r=eyJrIjoiMTkzYjlkMjktZThkMi00NDFiLWE1NzUtNjhjN2UzYmVjOGM4IiwidCI6IjIwNTk5OGJhLWVkZjAtNDFlZi1iMzZjLTU2NWVkNjMxZGM5YyJ9

[3] https://www.youtube.com/watch?v=3yRsIL7s5eU.

[4] https://www.vigiaccess.org/ (organe de vigilance de l’OMS) et https://vaersanalysis.info/2022/06/04/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-27-2022/ (VAERS, comprenant les données étasuniennes et autres, d’après une mise à jour effectuée jusqu’au 20/5/2022).

[5] Chez Pfizer, on veut aujourd’hui aller jusqu’à injecter les enfants de moins de 5 ans, déclarant « efficaces à 80 % » les plus petites doses de son produit expérimental à ARN messager concocté pour les tout-petits.

[6] Bill Gates, How to Prevent the Next Pandemic, aux éditions Penguin Random House (2022).

On pourra également visionner, au lien ci-après, la présentation résumée qu’en fait Gates (of Hell) lui-même : https://www.youtube.com/watch?v=YsBfzNeUNQ0&t=6s.

[7] https://koreajoongangdaily.joins.com/2021/08/24/national/socialAffairs/covid19-vaccine-deaths/20210824191200483.html.

[8] https://reseauinternational.net/mise-a-jour-en-israel-flambee-de-cas-vaccinaux/.

[9] Réponse et mobilisation en cas d’épidémie mondiale.

[10] L’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation.

[11] La chose n’a été que trop tristement démontrée, au pire des premiers temps épidémiques, en France notamment...

[12] Avec, pour ses principaux architectes et contributeurs, les grandes sociétés de fonds d’investissements (Blackrock), les 500 plus grandes entreprises cotées en bourses aux États-Unis (Amazon, Microsoft, Apple, Pfizer, PepsiCo, …), les gouvernements, les grands groupes de recherches pharmaceutiques (le cartel d’acteurs composant Big Pharma), le FMI et les banques centrales.

[13] Le nombre catastrophiquement élevé d’effets secondaires, par comparaison à tout autre vaccin proprement nommé, le confirme de partout, illustrant bien qu’il y a un risque beaucoup plus élevé à se faire injecter de tels produits expérimentaux qu’à subir les effets bénins d’une infection par le SRAS-CoV-2, pour la plupart des personnes ne souffrant pas de déficit immunitaire prononcé.

[14] https://www.franceinter.fr/societe/qu-est-ce-que-l-identification-numerique-que-la-france-s-apprete-a-mettre-en-place.

[15] Les cabinets de conseils privés américains et autres démiurges du Forum économique de Davos.


 [AdST1]Ce terme est chargé de mépris ; le lecteur va comprendre que c’est toi qui le méprises, et non pas l’Etat.