Publié le 02/11/2021
[ En ce quatrième anniversaire de la disparition de Robert Faurisson, il est juste de lui rendre hommage en montrant que son travail critique se poursuit. Ci-dessous un article portant sur un point géographique "de détail", mais montrant parfaitement comment le grain de sable de trop finit par enrayer la machine, et comment ce sont les ennemis de la vérité qui le projettent fatalement dans les rouages.]
Thomas Dalton
C'est drôle, ce qui se passe avec l'histoire de l'Holocauste : de temps en temps, une vilaine partie de la vérité s'échappe. Lorsque cela se produit, un élément de plus de la mascarade apparaît au grand jour, saute aux yeux de tous. Pendant un bref instant, une vérité embarrassante de plus attire l'attention du public, avant d'être rapidement rejetée dans les profondeurs du trou de mémoire. Mais à force de ténacité, de travail acharné et aussi avec un peu de chance, ce genre de choses prend de l'importance.
Cette fois, il y a eu des yeux aiguisés pour voir le dérapage. Il s'agit d'un obscur camp de concentration de la Seconde Guerre mondiale, situé dans l'actuelle Croatie, du nom de Jasenovac. Ce camp, qui a fonctionné pendant environ trois ans et demi, de la mi-1941 à la fin de la guerre, n'a, selon toute vraisemblance, aucun rapport avec l'histoire de l'Holocauste. Même selon le musée américain du Mémorial de l'Holocauste, seuls quelque "12 000 à 20 000 Juifs" y sont morts, ce qui signifie que le camp représente, au mieux, 0,33 % du nombre présumé de Juifs morts, soit 6 millions. S'il n'y avait pas eu une récente bévue du Jerusalem Post, je n'aurais probablement jamais consacré un instant à ce sujet. Dans le grand récit de l'Holocauste, il y a de bien plus gros poissons à griller. Mais cette dernière gaffe nous donne l'occasion de mettre en lumière la fraude permanente qu'est l'Holocauste. Lorsque les Juifs eux-mêmes mettent un pied dans leur bouche collective, à nous d'en tirer le meilleur parti.
Le sujet en question est un article qui est brièvement apparu sur le site du Jerusalem Post, intitulé "This disgraceful mocking of the Holocaust needs to stop now" (maintenant disponible ici ; l'URL original a été supprimé), autrement dit: "il faut mettre un terme à cette ironie déplacée sur l'Holocauste". Rédigé par un journaliste australien nommé David Goldman, ce court essai est obsédé par une interview réalisée pour la télévision croate, vieille de trois ans, dans laquelle l'historien et juif croate Ivo Goldstein évoque le camp "de plus en plus problématique" de Jasenovac. L'interview, qui date de 2018, comprenait cette question posée à Goldstein : "Beaucoup ont commenté l'absence de preuves médico-légales concernant ce camp particulier. Pouvez-vous expliquer pourquoi c'est le cas ?" (c'est-à-dire, pourquoi il y a une absence de 'preuves', autrement dit de restes humains). Goldstein a alors lâché sa réponse "bombe" : "Parce qu'en avril 1945, Hitler a envoyé des machines spéciales à Jasenovac. Ces machines ont été utilisées pour dissoudre les os qui restaient."
Une machine "à broyer les os" (Fig. 3: Jewish prisoners forced to work in a unit of Sonderkommando 1005, in front of a bone mill at Janowska concentration camp. From left to right: Unknown person, David Manusevitz and Moses Korn (USHMM caption).
Sources: This work has been released into the public domain by its author, United States Holocaust Memorial Museum, courtesy of Belarusian State Archive of Documentary Film and Photography.
https://codoh.com/library/document/the-bone-mill-of-lemberg/en/)
Plusieurs points ici : Premièrement, dans toute l'historiographie de l'Holocauste, il n'existe aucune documentation réelle ou même supposée sur de telles "machines à dissoudre les os". Il y avait de prétendus broyeurs d'os, actionnés par des moteurs diesel ; en voici une photo supposée, mais son usage destructeur a été démenti [1]. Les nazis auraient également utilisé de la chaux chlorée (chaux vive) pour tenter de décomposer les cadavres à Treblinka et Belzec, mais ce produit chimique, lorsqu'il est utilisé, ne fait que réduire l'odeur ; il ne fait rien pour accélérer la décomposition. La "dissolution", en particulier pour les os, implique l'utilisation d'un acide ou d'un autre procédé chimique puissant, mais là encore, de telles affirmations sont totalement inconnues dans la littérature. C'est pourquoi Goldman parle à juste titre de "machines jusqu'alors inconnues". Peut-être y a-t-il eu confusion de la part de Goldstein, qui voulait en fait dire "écraser" et non "dissoudre". Mais encore une fois, nous n'avons aucune preuve fiable que de telles machines à broyer aient jamais été utilisées par les Allemands.
Deuxièmement, cette idée semble être une pure invention de Goldstein pour expliquer un fait gênant, à savoir l'absence de preuves médico-légales à Jasenovac - c'est-à-dire de cadavres, de cendres ou d'autres restes humains. Et par "pure invention", je veux dire un mensonge pur et simple. De toute évidence, Goldstein a menti pour dissimuler un fait critique et accablant. Quiconque a étudié l'histoire de l'Holocauste sait que de tels mensonges sont légion[2].
Troisièmement, l'hypothèse selon laquelle les Allemands, dans les derniers soubresauts de la défaite, prendraient la peine d'envoyer des "machines à dissoudre les os" dans un obscur camp en Croatie est manifestement absurde, comme le souligne Goldman. C'est l'idée entière qui est absurde.
Plus important encore, ce petit épisode rappelle des affirmations similaires concernant des camps plus importants comme Auschwitz, Treblinka et Belzec. En l'absence de preuves matérielles, comment pouvons-nous justifier les affirmations selon lesquelles des milliers, des centaines de milliers ou un million de victimes de l'Holocauste auraient séjourné et auraient été assassinés dans ces camps ? Pour le journaliste Goldman, cependant, les mensonges concernant Jasenovac ne font que "polluer" l'histoire plus large de l'Holocauste, qu'il accepte sans réserve. Comme il le dit, "Pourquoi permettre la pollution de l'histoire de l'Holocauste par un lieu [Jasenovac] qui ne peut fournir aucune preuve médico-légale indépendante au-delà de quelques milliers de victimes - mais dont la liste ne cesse de s'allonger, y compris en 2021 - alors qu'il a été prouvé à plusieurs reprises que le décompte a été falsifié ? Bonne question, d'autant plus que nous pouvons poser la même question à propos de pratiquement tous les sites dont il est admis que l'Holocauste y fut commis. Les implications sont terribles pour les juifs du monde entier.
Petit cours sur Jasenovac
Prenons un moment pour revoir l'histoire conventionnelle de ce camp, étant données les nombreuses leçons qu'elle nous offre. Il est incontestable que Jasenovac a été créé sous les auspices du gouvernement d'obédience nazie de la Croatie occupée, connu sous le nom d'Oustasa (ou Oustase, ou Oustachi). Le camp avait été construit en août 1941, peu de temps après le début de l'invasion de l'Union soviétique par Hitler. Il se composait de cinq installations distinctes, dont deux ont été éphémères, mais les trois autres - Ciglana, Kozara et Stara Gradiska - ont fonctionné jusqu'à la fin virtuelle de la guerre en avril 1945. L'objectif du camp est contesté ; certains affirment qu'il s'agissait strictement d'un camp de détention et de travail, tandis que d'autres déclarent qu'il s'agissait d'un centre d'extermination au même titre que les pires camps de Pologne. Selon tous les témoignages, plusieurs milliers de personnes y sont mortes, principalement des Serbes, mais aussi des Juifs, des Roms et un nombre épars de musulmans et d'ennemis politiques croates.
Le nombre des victimes, et surtout le nombre de juifs, sont les principaux points de discorde. Comme pour la plupart des camps de l'Holocauste et des sites de la mort, l'éventail des estimations est vaste. Des personnes sympathisantes du régime oustachi, comme l'ancien président Franjo Tudjman, donnaient régulièrement des chiffres de 3 000 à 4 000 au maximum, toutes communautés confondues. Ces chiffres remontent aux premiers examens médico-légaux du camp en 1947. Mais dans les années 1970 et 1980, les chiffres ont augmenté ; l'Encyclopédie de l'Holocauste de 1990 (p. 189) a affirmé, sans preuve, qu'environ 300 000 corps y ont été découverts et exhumés.
Pourtant, même ce chiffre était insuffisant pour nos propagandistes de l'Holocauste. Un article récent note que, au cours des dernières décennies, "les historiens ont estimé qu'entre 700 000 et 1 million de personnes ont été tuées à Jasenovac." Des publications serbes des années 1990 ont cité des chiffres allant jusqu'à 1,2 million[3]. 15 % d'entre eux environ seraient des Juifs, soit potentiellement 100 000 à 150 000. Si l'on s'en tient à cette estimation supérieure, Jasenovac devancerait largement Majdanek en termes de nombre de victimes juives et se rapprocherait du statut de Sobibor. En revanche, si les juifs représentaient 15 % des 3 000 victimes retenues au départ, par exemple, cela représenterait 400 ou 500 morts, ce qui est tout à fait insignifiant. L'enjeu est considérable.
Aujourd'hui, cependant, les estimations les plus communément admises sont beaucoup plus proches de la limite inférieure que de la limite supérieure. L'actuel gouvernement croate semble accepter un chiffre de 83 000 morts au total. Le US Holocaust Memorial Museum affirme que "le régime oustachi a assassiné entre 77 000 et 99 000 personnes à Jasenovac entre 1941 et 1945". Parmi elles, entre 12 000 et 20 000 seraient des juifs. Pourtant, l'USHMM n'est pas très optimiste quant à ses propres estimations :
Déterminer le nombre de victimes pour... Jasenovac est très problématique, en raison de la destruction de nombreux documents pertinents, de l'inaccessibilité à long terme pour les chercheurs indépendants des documents qui ont survécu, et des programmes idéologiques des chercheurs et du journalisme partisans d'après-guerre, qui ont été et restent influencés par les tensions ethniques, les préjugés religieux et les conflits idéologiques. Les estimations proposées ici sont basées sur le travail de plusieurs historiens qui ont utilisé les registres de recensement ainsi que la documentation disponible dans les archives allemandes, croates et autres en ex-Yougoslavie et ailleurs.
Comme je l'ai noté plus haut, même 20 000 morts juives, c'est un chiffre largement sans rapport avec un récit d'envergure sur l'Holocauste.
Une réfutation
Le court essai de Goldman a suscité une réponse rapide et furieuse de la part de Dejan Ristic, le directeur par intérim du Musée serbe des victimes du génocide. Cette réponse a été publiée dans le Jerusalem Post deux jours seulement après l'article original de Goldman. La Serbie, bien sûr, a tout intérêt à promouvoir un nombre élevé de victimes, et surtout un nombre élevé de Serbes, car cela renforce son statut de victime et favorise le programme nationaliste serbe. Mais plus important que le nombre élevé de victimes, c'est la nature globale du camp en tant que site légitime de l'Holocauste qui est en jeu: est-ce juste un chiffon politique fantaisiste qu'on brandit, où le nombre de victimes varie du millier à la centaine de milliers, et pour lequel on manque totalement de preuves pertinentes?
La réfutation de Ristic - "Honte à ceux qui cherchent à réviser l'histoire de l'Holocauste" - est aussi mal argumentée que mal écrite. (Bien que, curieusement, le site Web du Post affiche toujours cette réfutation, alors que l'essai original a disparu depuis longtemps). Ristic exprime son "étonnement" devant le "texte pseudo-scientifique et révisionniste" de Goldman, qui ne contient, dit-il, guère plus qu'"une série de déclarations inexactes et de semi-informations." Ristic s'indigne du fait que Goldman ose citer l'histoire peu reluisante du nombre de victimes ; le musée accepte clairement un chiffre dans la fourchette courante (80 000 à 90 000), avec toutefois la possibilité de chiffres plus élevés à l'avenir. Ristic écrit : "Au fur et à mesure que les recherches des experts du musée... se poursuivent, il faut s'attendre à ce que le nombre de victimes de Jasenovac soit corrigé. ... Le nombre total estimé de victimes est, malheureusement, bien plus élevé que celui que la science historique sera jamais en mesure d'identifier avec les données précises." Il est soucieux de faire taire toute idée de quelques milliers de morts, mais il cherche également à éviter toute suggestion que le chiffre puisse approcher le million ou plus ; comme il le sait bien, les deux extrêmes menacent de saper toute crédibilité concernant le camp.
Le plus amusant est que, dans toute sa longue réfutation, Ristic ne mentionne pas une seule fois la "bombe" des machines à dissoudre les os - pas une seule fois. Il admet ainsi tacitement que le point est acquis, qu'aucune preuve n'a été recherchée ou trouvée, et que toute la vision de Jasenovac en tant que camp de la mort de premier ordre ne repose guère plus que sur des rumeurs et des insinuations, voire des mensonges purs et simples.
Le problème central pour Ristic et Goldman, cependant, est que leurs arguments de va-et-vient promettent d'exposer les problèmes bien plus conséquents des principaux camps de l'Holocauste. En fait, Ristic fait le sale boulot pour nous. Il écrit : "On pourrait donc se demander s'il est possible de nier, de la même manière, le nombre de 1 200 000 à 1 500 000 personnes tuées à Auschwitz, puisqu'il n'y a pas non plus de preuves médico-légales pour cette affirmation?" Touché, M. Ristic ! L'ironie est qu'il a entièrement raison, bien sûr. Aucune preuve (ou presque) pour Auschwitz ; aucune pour Treblinka ; aucune pour Belzec - toujours la même histoire.
Graves implications
Le principal reproche de Goldman concerne le mensonge ad hoc des machines à dissoudre les os, mais il fait écho aux nombreux mensonges, bien plus graves, concernant Auschwitz, Belzec, Treblinka et, en fait, les six soi-disant camps de la mort[4]. Mais il dénonce en outre le processus continu de formation de mythes autour d'un camp comme Jasenovac, "où les mythes de la souffrance serbe et juive se sont entremêlés, fournissant une nouvelle série de mythes nationaux" (pour citer l'auteur David McDonald). Goldman, cependant, évite naturellement le processus de formation de mythes similaire mais bien plus important concernant Auschwitz, et les autres camps et l'Holocauste au sens large. C'est ce même processus de formation de mythes qui a conduit à des chiffres tels qu'un million de Juifs gazés à Auschwitz, alors que, selon la thèse révisionniste beaucoup plus plausible, peut-être 150 000 Juifs y ont effectivement péri - et aucun dans des chambres à gaz.
De même, Goldman ridiculise l'idée que des restes humains "n'ont pas encore été découverts" à Jasenovac, et il pointe du doigt, à juste titre, le gouvernement yougoslave qui, "au cours de ses 47 ans de règne sur le site, n'a jamais pris la peine d'essayer de localiser ces mystérieux restes "manquants"". On peut bien sûr dire la même chose de l'actuel gouvernement croate et de son règne de 30 ans. (Mais cela soulève la même question pour les autres camps : Où sont les restes de près d'un million de corps juifs à Auschwitz ? Ou les 900 000 corps juifs à Treblinka ? Ou 600 000 corps juifs à Belzec ? Avons-nous quelque chose ? Des corps, des os, des cendres, n'importe quoi ? Avons-nous même les trous dans le sol où les Allemands auraient enterré les centaines de milliers de victimes, pour les déterrer ensuite et les brûler "en cendres" dans des feux en plein air sur des bûches de bois ? D'après mes années de recherche, la réponse à toutes ces questions est "non".
Qu'en est-il du prétendu million de Juifs tués dans les différents ghettos ? Où sont leurs restes ? Qu'en est-il du prétendu 1,6 million de juifs tués par balles, principalement sur le front de l'Est ? où sont leurs restes ? (Ces chiffres sont énoncés ou sous-entendus par tous nos experts, et sont absolument nécessaires pour nous amener au total obligatoire de "6 millions"). Pas tous leurs restes, remarquez bien, ni même la plupart d'entre eux. On se contenterait, disons, de a moitié, ou même d'un quart, tant que nous avons une bonne explication pour le reste. Mais au lieu de cela, nous avons des histoires de "600 corps trouvés ici" et "250 corps trouvés là" et des cendres correspondant à peut-être "quelques milliers de corps" au maximum. Ces chiffres sont si éloignés des "6 millions" qu'ils constituent à eux seuls une réfutation efficace de ce chiffre. Tout comme le chiffre de "700 000 à 1 million" à Jasenovac est une farce, le chiffre de "6 millions de juifs" pour l'Holocauste au sens large l'est aussi[5].
Et pourtant, notre intrépide reporter David Goldman a le culot d'écrire : "Ceux qui ont fait l'amalgame entre le seul camp de concentration du temps de guerre [ !] sans aucune donnée vérifiable, et les faits scientifiquement prouvés [ !] de l'Holocauste, ont fait un tort incommensurable à l'histoire juive." Soit il ignore la vérité, soit il dissimule délibérément la réalité. Le véritable "tort incommensurable" a été causé par ses compatriotes juifs et leurs laquais intellectuels qui, pendant des décennies, ont promu un mythe insoutenable de la souffrance juive.
Les jours des "6 millions" sont comptés, et je pense que Goldman, Goldstein et leurs amis le savent. Lorsque ce mythe s'effondrera, le peu de crédibilité de ses promoteurs, ce qui en reste, s'effondrera également. Lorsque l'histoire orthodoxe de l'Holocauste s'effondrera, les dominos pourraient bien commencer à tomber. Et lorsque cela se produira, tous les paris seront ouverts.
Thomas Dalton, PhD, a écrit ou édité plusieurs livres et articles sur la politique, l'histoire et la religion, avec un accent particulier sur le national-socialisme. Ses travaux comprennent une nouvelle série de traductions de Mein Kampf, ainsi que les livres Eternal Strangers (2020), The Jewish Hand in the World Wars (2019) et Debating the Holocaust (4th ed, 2020). Plus récemment, il a édité une nouvelle édition du classique du Myth of the 20th Century de Rosenberg et un nouveau livre de caricatures politiques, Pan-Judah !
Notes
[1] L'utilisation présumée de "broyeurs d'os" nazis pour éliminer les preuves corporelles a été réfutée ces dernières années. Les machines figurant sur les quelques photos existantes sont probablement des broyeurs à boules de gravier conventionnels utilisés dans la construction de routes au début du 20e siècle. Voir la discussion dans The Einsatzgruppen in the Occupied Eastern Territories (2018, C. Mattogno, Castle Hill Publishers), p. 481-484. Voir également l'article en ligne "The bone mill of Lemberg" (2013).
[2] Mon menteur de l'Holocauste préféré de tous les temps est Herman Rosenblat, qui a inventé toute l'histoire de "l'ange à la barrière" dans les années 1990. Son interview télévisée de 2009, dans laquelle il confesse ouvertement son mensonge, est si audacieuse, si effrontée et si délirante qu'elle constitue un monument à la mendicité juive. La vidéo est si instructive qu'on ne la fera jamais assez circuler.
[3] Benčić, A. (2018). "Koncentracijski logor Jasenovac : konfliktno ratno nasljeđe i osporavani muzejski postav". Polemos XXI (41) : 37-63.
[4] Ces mensonges sont vastes, tant par leur contenu que par leur type. Ils couvrent tous les aspects de l'Holocauste, et comprennent des mensonges flagrants, des mensonges par omission, des demi-vérités, des dissimulations, des exagérations grossières, des hyperboles, et bien d'autres encore. Ils ont été promus par des survivants, des "témoins oculaires", des Allemands contraints et captifs, et des "experts" actuels. Je ne peux pas m'étendre sur ce sujet ici ; il fait l'objet de plusieurs ouvrages spécialisés. Pour commencer, on peut se référer à Auschwitz Lies (G. Rudolf et C. Mattogno, 2017, Castle Hill), Treblinka (C. Mattogno et J. Graf, 2020, Castle Hill), ou Belzec (C. Mattogno, 2016, Castle Hill). Ou pour un bon aperçu de ces questions, voir mon propre ouvrage Debating the Holocaust (2020, Castle Hill).
[5] Il ne s'agit pas de nier que plusieurs milliers de Juifs sont morts pendant l'ère nationale-socialiste. Selon la plupart des calculs révisionnistes, peut-être 500 000 personnes au total sont mortes, toutes causes confondues. Mais cela représente une réduction de plus de 90 % par rapport aux 6 millions revendiqués. Et cela réduit les décès juifs à une simple note de bas de page dans la catastrophe plus vaste qu'a été la Seconde Guerre mondiale.
Original: https://www.unz.com/article/jasenovac-the-latest-holocaust-embarrassment/