Publié le 06/12/2015
Les apports de Claire Séverac (1),
On sait que l’objectif avoué des dirigeants secrets qui pilotent les élites occidentales est de stabiliser la population mondiale à 500 millions d’individus. Ils ne précisent pas que les 12 /13 excédentaires doivent être principalement africains, mexicains (longue frontière avec les US, normal) ou ciblés par Israël dans le cadre du Plan Yinon. Voici quelques précisions sur le programme de stérilisation qu’apporte Claire Séverac (elle donne les références précises en note), très utiles pour comprendre l’impulsion officielle à la théorie du genre, à la constitution d’une caste homosexuelle, à la reproduction artificielle afin d’éradiquer reproduction naturelle et imprévisibilité des mâles entiers:
Extraits :
Henry Kissinger dans le National Security Memorandum 200, « Implications de la croissance de la population mondiale sur la sécurité des intérêts américains outre-mer », 1974, explique de façon très claire que « les pays qui ont le plus de ressources minières dont l’Amérique a le plus besoin sont trop peuplés, donc source de déstabilisation » ce qui pourrait gêner l’approvisionnement US. Et il précise que « la réduction de la population dans ces Etats est une question vitale pour la sécurité nationale des Etats-Unis. » Le rapport cite 13 pays dans lesquels le gouvernement américain va financer en sous-main des campagnes de contrôle des naissances, de stérilisation forcée et d’avortement au travers de l’International Planned Parenthood et de plusieurs ONG, usant de mesures coercitives comme de conditionner la distribution de vivres ou l’aide financière à l’acceptation par ces pays des plans de réduction de la population, pendant que la propagande répétait, bien évidemment, que ces actions étaient menées pour la santé et le bien-être des peuples du tiers-monde. Des programmes semblables ont été mis en place aussi dans nombre de secteurs pauvres habités par des minorités à l’intérieur des Etats-Unis. Selon le rapport Donaldson, « les fonds américains en faveur du contrôle de la population sont passés de 2,1 millions de dollars en 1965 à 185 millions de dollars en 1980. (…) Entre 1981 et 1989 –les années de l’administration « pro-vie » Reagan-Bush – ce sont 3 milliards de dollars qui furent consacrés aux activités de contrôle de population. »
Bill Gates reprend exactement la même rhétorique avec son équation CO2 = P x S x E x C, quand il fait rigoler la salle remplie de ses potes en disant « qu’un de ces nombres va devoir se rapprocher de zéro (le taux de CO2 ou le taux de naissances ) et admet qu’avec les vaccins, ils espèrent régler de 10 à 15% de la surpopulation !
Et ce n’est pas qu’un souhait, en vérifiant, ces dernières années, Bill le Généreux, l’OMS et l’UNICEF ont été pris la main dans le sac avec divers vaccins contenant un stérilisant à l’insu des femmes qui les recevaient : le tétanos au Pérou, la variole en Afrique noire mais aussi en Inde, au Pakistan, au Bangladesh, en Indonésie… Plus récemment, aux Philippines, 3 millions de femmes ont été stérilisées alors qu’elles pensaient qu’il s’agissait d’une campagne de vaccination contre le tétanos. Même chose au Nicaragua, et au Mexique (en échange d’une partie de la remise de la dette extérieure du pays). C’est le « Comité Pro vida de Mexico, une organisation de terrain catholique romaine, qui a décidé de vérifier plusieurs flacons de vaccin et a découvert qu’ils contenaient de l’hormone gonadotrophine chorionique humaine ou hCG. Bizarre pour un vaccin destiné à protéger les gens contre le tétanos, qui découle de l’infection de plaies dues à des clous rouillés ou à tout autre contact avec certaines bactéries du sol. A vrai dire, le tétanos est plutôt rare. C’était aussi curieux car la hCG est une hormone naturelle nécessaire au maintien de la grossesse. Seulement, combinée à un porteur d’anatoxine tétanique, cela stimule la formation d’anticorps contre la hCG, rendant la femme incapable de rester enceinte ; une forme d’avortement cachée. Des rapports similaires, de vaccins corsés à l’hormone hCG, sont arrivés des Philippines, du Kenya et du Nicaragua.
On sait aussi que les vaccins administrés couramment contiennent des adjuvants extrêmement dangereux comme l’aluminium, le Thymérosal ou le Squalène, et certains d’entre eux des ingrédients perpétuellement nuisibles pour la fertilité, comme le Triton X-100, spermicide aussi connu sous le nom d’Octoxymoll 10 que l’on trouve dans certains vaccins contre la grippe ; le Polysorbate 80 (aussi connu sous le nom de Tween 80), agent connu pour provoquer la stérilité chez le rat, se trouve dans de nombreux vaccins, notamment le Pediacel, un vaccin cinq-en-un administré aux nourrissons, et dans le vaccin Gardasil contre le VPH (Virus du papillome humain).
Pourquoi ne nous dit-on rien ?
Parallèlement, on constate que la fécondité a rapidement chuté depuis les années 1950 dans tous les pays du monde, et le début du changement a coïncidé avec l’introduction des premiers programmes de vaccination de masse. Certainement pas un hasard puisque l’ancien chef de l’agence nord-américaine chargé du programme de contraception, R. T. Ravenhold, affirmait dans une interview de 1997 que son pays « voulait proportionner les moyens pour pouvoir stériliser un quart des femmes de la planète ». Le constat des scientifiques sur l’utilisation des pesticides est tout aussi alarmant, « avec la disparition vérifiée de 1/3 de la concentration en spermatozoïdes en 16 ans sur 26 600 sujets étudiés sans qu’aucune région ne soit épargnée par le mal du mâle. »
Il y a aussi la maladie causée par le vaccin, deux fois plus meurtrière… en Inde ou en Afrique où Bill Gates s’est déchaîné dans des campagnes de vaccination contre la polio. Effectivement, on ne trouve plus de cas de polio mais les enfants meurent à présent de la Paralysie Flasque Aigüe, c’est-à-dire du virus contenu dans les vaccins. Et des études indépendantes montrent que des enfants ayant reçu le diagnostic PFA « avaient deux fois plus de risque de décéder que ceux qui avaient été touchés par le virus de la polio sauvage ».
Pourquoi nous le cache-t-on ?
D’autre part, le principe vaccinal, en affaiblissant l’immunité naturelle, favorise la dépopulation. […]
Sur les effets des OGM, une étude russe […] conclut que « les OGM stériliseront l’humanité au bout trois générations », ce que confirment les travaux de l’ONU qui admettent qu’à un moment donné, entre 2020 et 2050, le taux de fécondité mondial va chuter en-dessous du taux de remplacement ».
Et encore : « Un programme de stérilisation des femmes après leur deuxième ou troisième enfant [...] la capsule pourrait être implantée à la puberté et être amovible, avec une permission officielle, pour un nombre limité de naissances." (John P. Holdren, conseiller scientifique de Barack Obama). "Une population mondiale totale comprse entre 250 et 300 millions de personnes, soit une baisse de 95% par rapport aux niveaux actuels, serait l'idéal. La grossesse devrait être un crime contre la société, punissable, à moins que les parents aient une licence du gouvernement […] Tous les parents potentiels devraient être tenus d’utiliser des contraceptifs chimiques, et des antidotes seraient donnés par le gouvernement aux citoyens choisis pour procréer » (Charlie Brower, premier directeur exécutif du Sierra Club). Bill Gates : « Il y a 6,8 milliards de gens sur la terre, bientôt 9 milliards ; maintenant, si l’on fait vraiment un super boulot avec les nouveaux vaccins, les services de santé reproductive, on pourrait réduire ces chiffres de 10 à 15%. » (p. 20-21)
Préface par Pierre Hillard : « Le Nouvel Ordre Mondial est d’abord et avant tout une mystique reposant sur des rites sacrificiels ».
Maria Poumier
Source : La Guerre contre les Peuples, Kontrekulture, 2015 p. 388-392. Un livre également très riche pour comprendre pollution chimique de l’air, programme Haarp, puçage universel et autres nuisances orchestrées.