Il faut choisir son camp

Publié le 22/04/2022

  • Il faut choisir son camp

 1. Macron le fauteur de guerre

Une dcourte vidéo (6’) réalisée par Mr Dupont Aignan à la suite du débat télévisé opposant les deux candidats.

J'en retiens la partie la plus forte: "Voter Macron, c'est voter la guerre en Europe". J'y ajoute que nous aur(i)ons, en prime, la guerre civile en France, à plus ou moins long terme.

 
https://www.youtube.com/watch?v=5ADGdzQOkCQ

Ma conclusion: on ne peut pas se laver les mains ou se désintéresser de ce qui se passe aujourd'hui et se passera demain.

On ne peut plus s'abstenir ou voter blanc, ce qui revient à voter pour la reconduction des équipes sortantes. Il faut choisir son camp.

2. Une analyse des surprises de la campagne, et un curieux pronostic, de Laurent Glouzy:

 
3. Et une éructation salutaire:


Narcissisme pervers ou réalité ?

Par Sébastien Renault

 

« La politique est l’art d’empêcher les gens de s’occuper de ce qui les regarde. » (Paul Valéry)

 

C’est la raison pour laquelle les gens réellement intelligents, compétents et moraux ne sont généralement jamais élus – puisqu’ils sont les derniers à aspirer à l’élection.   

Le combat aujourd’hui, dans ses implications immédiatement politiques et électorales en France, met face à face le narcissisme pervers (et le monde virtuel qu’il entend représenter et imposer à tous) et la réalité (celle de 99 % des gens, qui s’efforcent, tant bien que mal, de s’y conformer).

L’enjeu fondamental de cette histoire d’élection présidentielle française en 2022 n’est donc rien d’autre, en définitive, que de faire le choix intellectuel et moral de retourner à la réalité, retour impliquant d’acquérir la capacité de s’extraire du pouvoir de la perception (le domaine des raccourcis imaginaires et des duperies subjectives) et de celui des mensonges continuellement assénés par les médias de la honteuse macronie (le domaine de la pitrerie et de la vacuité « antifasciste » capitalisant sur l’indifférence et le manque de culture d’une certaine partie de la population).

Un quart des Français n’ont donc pas voté, face aux choix d’un système totalitaire libéraliste de plus en plus proche de la réduction vers le parti unique (à l’image de ce qu’est la macronie).

Pour perpétuer la supercherie de 2017, on prend les mêmes et on recommence au deuxième tour, en ranimant de nouveau la grossière propagande de la lutte « sans concession » contre le « fascisme » au nom de l’« antiracisme », moyennant la même pression, le même dressage social à la conformité anti-démocratique contre l’ « extrême droite » : « Voilà, mesdames et messieurs les électeurs, celui pour lequel vous devez ou ne devez pas voter ». Ainsi parle la classe élitaire politicienne, répercutée sans discernement par les représentants coutumiers de la coterie du showbiz, de quelques centaines d’artistes et de sportifs milliardaires (et évadés fiscaux) estimant détenir quelque autorité morale sur les électeurs de la « sous-classe » plébéienne. C’est dire qu’ils en méprisent le vote, chaque fois que celui-ci ne se conforme pas au projet déjà décidé en coulisse – comme l’a parfaitement illustré, dans le cadre du référendum français de mai 2005, le vote populaire contre l’adoption du traité de Maastricht, puis son désaveu ultérieur par les élites européistes, pour parvenir finalement à la signature et à la promulgation du traité de Lisbonne, au mépris des résultats du vote originel...   

Mais comment peut-on accepter le décri tout-à-fait affligeant et attentatoire de Marine Le Pen, désignée comme un suppôt de Satan « hitlérien » par lesdites « élites » politico-médiatiques et culturelles prétextant ces « atteintes sans précédent à la démocratie » que ferait peser sa victoire potentielle au deuxième tour, après cinq ans de monocratie macroniste ? Notez qu’il ne s’agit nullement de ma part (qui n’ai personnellement jamais appartenu au moindre parti politique et m’en garde comme d’une peste intellectuelle depuis toujours) de soutenir en soi Marine Le Pen (un faux choix et une fausse alternative au fléau Macron). Mais plutôt de souligner l’hypocrisie foncière des raisons bidons de sa diabolisation et le fait objectif que Macron est une calamité beaucoup plus implacable et pernicieuse que ce que pourrait apporter un gouvernement lepéniste.

Car, si extrémisme et « fascisme » il y a, ils sont aujourd’hui subsumés dans le macronisme, leur expression la plus perverse, la plus fourbe, la plus contraire à la prétendue « démocratie » française. Il suffit pour le comprendre d’être disposé à porter un regard lucide sur le quinquennat de ce faux jeton de Macron, élu au service des puissances d’argent et certainement pas du peuple, qu’il méprise. Pour ceux qui voudraient se reporter aux faits, veuillez svp consulter ce bilan OBJECTIF très bien fait de la macronie (chose que vous ne verrez évidemment jamais à la télé, qu’il faudrait s’abstenir une bonne fois pour toute de regarder, pour se donner les premiers moyens de ce retour à la réalité évoqué ci-dessus). Voir ici la deuxième partie de ce sinistre bilan, songeant également à ce qu’il pourrait engendrer, s’il était en mesure de passer à l’acte II…

La peur de « l’extrême droite » est une vieille fabrication psycho-médiatique génératrice de réflexes conditionnés, donc dépourvus d’autoréflexion conceptuelle et historique, d’intelligence critique, du moindre recul rationnel. Il suffit en effet de dire « extrême droite », et une certaine frange de la population, marchant peu ou prou à la baguette du crétinisme journalistique, pensera fatalement « hitlérisme », « fascisme », « russophilie » poutiniste, et autres inepties du même genre.        

Mais que dire de ce véritable extrémisme fasciste, aujourd’hui d’obédience centriste, tel que l’incarne le macronisme ? Ce qui me semble le caractériser en premier lieu (sans viser à quelque décompte exhaustif des attributs de cette Bête à géométrie variable), c’est le fait de dire TOUT et SON CONTRAIRE. Dans la lignée de cette logique caméléo-tartuffienne, Macron (ou le macronisme), c’est encore :

-       vendre la France et la sacrifier sur l’autel de l’euro-mondialisme ;

-       la stagnation de la croissance nationale (covidisme de l’absurde oblige, politique têtue du « quoiqu’il en coûte ») ;

-       la continuation de la déperdition de la production industrielle (désindustrialisation de la France) ;

-       la tuméfaction de la dette publique (quelques 650 milliards d’euros en cinq ans) ;

-       profiter, en matière de baisse d’impôts, aux 10 % des plus riches en France, dont 1 % d’ultra-riches (lire Baisses d’impôts des entreprises : l’autre jackpot du quinquennat pour les très riches – marianne.net) ;

-       l’affaiblissement des services publics et de la protection sociale ;

-       la fin des contre-pouvoirs (aujourd’hui au service du macronisme) ;

-       le tabassage des Gilets jaunes et la brutalisation des citoyens (y compris de ceux qui oseraient porter des drapeaux français lors des manifestations contre le « passe sanitaire » et le « passe vaccinal ») ;

-       le bâillonnement progressif des libertés individuelles ;

-       la ségrégation sanitaire ;

-       la décomposition technocratique des hôpitaux et des services publics ;

-       le transfert de la gouvernance publique au profit des intérêts et des acteurs privés (voir McKinsey et l’ARNAQUE des cabinets de conseil) ;

-       le disparition de l’État de droit ;

-       la violation de la Constitution (lire L’étonnante voracité des sages : 2 310 violations de la Constitution en 21 ans - IREF Europe FR) ;

-       la réforme du système des retraites autour de la mesure d’extension de la limite minimale d’âge de 62 à 65 ans (avec l’approbation massive de plus 40 % de gens, aujourd’hui déjà en retraite, ayant voté pour Macron au premier tour), pour grappiller quelques-uns des milliards dilapidés par une prise en charge étatique aussi ruineuse que totalitaire de la crise sanitaire…

C’est, en somme, le mépris pur et simple du peuple et la perversité de l’illusion de la toute-puissance narcissique par un pouvoir d’hyper-finance élitiste et d’engeances médiatiques ne fonctionnant que sur la menace, la peur et le mensonge.

Dans ce théâtre de la mystification permanente des esprits conditionnés comme des veaux à consommer l’information au lieu de l’analyser, la France n’a désormais plus droit, semble-t-il, qu’à cette figure pathétique, ivre d’elle-même et caméléonne de Macron...

Honte, donc, à ceux qui ont voté Macron (principalement les retraités et les électeurs financièrement les plus aisés). Et courage à ceux qui, plus intelligents, ont compris que ce jeu électoral puait l’arnaque depuis trop longtemps et se sont abstenus d’y participer. Reste que, parvenus à ce stade, nous devons nous employer à ce qui subsiste dans les limites des moyens que nous avons encore de faire capoter Macron, de loin le plus nuisible de ces deux candidats.  

Si Mélenchon, cette vilaine raclure de franc-maçon, était tant soit peu honnête et cohérent avec lui-même, il se serait abstenu de marteler comme un diable « pas une voix à Marine Le Pen », voire même ouvertement appeler à voter contre Macron. Une telle « consigne », compte tenu de la correspondance exacte à près de 75 % de son programme avec celui de la candidate du RN, aurait évidemment eu pour effet de considérablement augmenter les chances de celle-ci, boostant son ambition (qui est celle aussi de millions de français absolument dégoûtés par le macronisme) de débarrasser la France de ce petit produit rothschildien du Forum économique mondial pas du tout national (Emmanuel Macron consacré parmi les jeunes leaders mondiaux à Davos – lefigaro.fr), qui nous sert de Président depuis déjà une demi-décennie.

4. De nombreux cercles francs-maçons lâchnt Macron :

https://nice-provence.info/2022/04/18/macron-lache-par-les-francs-macons/