Notre Dame des Victoires, celle qui porte l’avenir de la France

Publié le 04/01/2022

  • Notre Dame des Victoires, celle qui porte l’avenir de la France

par Ulysse P.

 

 

Face aux élections présidentielles qui approchent, on imagine assez bien qu’elle s’incarne, Notre Dame des Victoires, en une maîtresse femme. Imaginons Marine Le Pen dans le rôle, par commodité pour complaire à notre imaginaire. Mais les autres candidats anti système, dont Asselineau, Dupont Aignan, Le Pen, Mélenchon, Philippot, Zemmour, unis comme les doigts de la main, peuvent ensemble aussi reprendre le programme qui suit, rayonner au-delà de leurs clientèles respectives, et gagner, et faire gagner le peuple, et faire gagner la France.

 

 Si Marine voulait changer de pied, pour sa campagne électorale, cela lui permettrait peut-être même de gagner… voici les arguments qu’elle pourrait enfiler comme des perles, avec l’assurance que le collier rassembleur sera sa couronne :

Depuis la dernière campagne présidentielle, bien des choses ont changé, la situation est absolument inédite :

La défaite des États-Unis en Afghanistan et leur piteux retrait cahin-caha du Proche-Orient peut et doit signifier la fin des guerres de pillage lancées par l’Otan.

En effet, les révélations des lanceurs d’alerte Julian Assange, Chelsea Manning et autres persécutés pour la vérité confirment que toutes les lois de la guerre ont été violées par l’Amérique, il n’y a donc plus aucune raison de tolérer la reprise d’agissements semblables, encore moins d’association de la France à ce néocolonialisme meurtrier et suicidaire. Il y a cinq ans encore paraissait hautement improbable l’actuel nouveau rapport des forces, en faveur de la Russie et des pays de l’Axe de la Résistance.

Aux États Unis, l’implantation de la dictature sous prétexte sanitaire a été précédée par les révélations d’Edward Snowden sur l’ampleur de l’espionnage de chaque citoyen par les agences des Services secrets de l’Etat. Nous assistons depuis à une déclaration de guerre contre les peuples sous prétexte sanitaire en France comme dans chaque pays sous emprise otanesque, à l’extension en marche du modèle US de contrôle de la population au moyen de l’asservissement « volontaire » de chacun à son smartphone. Si le projet de pass vaccinal aboutit, la directive européenne permettant à l’Etat de fouiller dans nos smartphones complètera l’injection obligatoire de produits permettant le puçage de chaque individu, comme un animal domestique. La réhabilitation de locaux désaffectés pour servir de centres de détention, en cours, prouve bien que ce projet est en marche. La répression de toute dissidence à ce niveau d’intrusion dans notre intimité était impensable il y a cinq ans.

Sur l’évolution des mœurs : en 2013 on pouvait espérer que le gouvernement s’arrêterait dans la destruction des structures légales de la famille. Marine Le Pen, consciente de ses responsabilités et de la gravité de la scission qui pouvait s’opérer entre les Français, n’avait pas voulu aggraver la crise en se rangeant franchement du côté des cathos mobilisés, vus encore à l’époque par la majorité des Français comme des intégristes, voire des fanatiques. Mais avec les modifications de l’état civil (parent 1 et 2 remplaçant le père et la mère, quant à leurs droits et à leurs devoirs au mépris de toute vérité biologique) abolissant la dignité de la paternité et de la maternité, puis l’ouverture de la pma avec « don » de sperme anonyme à toute femme, aux frais de la sécurité sociale (ce qui est aussi monstrueux du côté des « donneurs » que des receveuses /récipientes), et bientôt de la gpa, toute la nation a compris que c’est la civilisation même qui est désormais en danger.

Il s’agit, dans le projet mondialiste autant que macronien, d’abolir le prestige et l’autorité tant paternelle que maternelle, de la filiation biologique et de l’affiliation spirituelle à une lignée de penseurs, de héros, de saints, de protecteurs de la race humaine. Le programme officiel de grande réinitialisation explicite la volonté d’extermination d’une grande partie de l’humanité, sous prétexte d’équilibre malthusien entre le poids de la démographie et les limites des ressources naturelles. Il s’agirait, pour « sauver la planète », de rayer de la carte quelques milliards de personnes. Et l’épidémie mondiale de covidisme était censée favoriser ce basculement des peuples dans la dépression suicidaire choisie : par le nombre de victimes, par la terreur répandue grâce aux médias complices des gouvernements, eux-mêmes vendus aux fabricants de pseudo vaccins miracle.

Désormais, personne ne veut aller plus loin dans le déni de la réalité, la destruction de la famille et de l’enfance, la destruction de nos traditions, de la conscience et du bon sens. Tous sont maintenant conscients que la propagande pour l’avortement sans états d’âme, sur la liberté sexuelle comme substitut de toute liberté réelle, physique et spirituelle, et sur le thème des changements de sexe à volonté, vise à stériliser spirituellement la France comme toute autre nation, et à accélérer la disparition du peuple français en tant que bloc démographique soudé par une solidarité nationale, le respect de nos aïeux, et une foi commune en l’avenir de la nation.

Le scandale Jean Michel Trogneux, un obscur imposteur promu « Première dame », vient confirmer que le président est un irresponsable qui donne l’exemple du bradage de toute moralité au profit de l’aventurisme sexuel, comportant l’impunité pour la pédocriminalité : un président séduit à 14 ans par un prédateur sexuel de 27 ans son aîné, et faisant falsifier (jusqu’à preuve du contraire) ses données biographiques et celles de son abuseur pour protéger une carrière fondée sur la sournoiserie et le mensonge, un président complice de ceux qui ont pour objectif de faire disparaître la France, et qui le manipulent depuis son adolescence pour qu’il accepte le rôle de balayeur en chef, va finir comme bouc émissaire des marionnettistes anti français qui l’ont toujours géré comme un laquais. Mais nous devons avoir l’initiative de la justice, et procéder à sa destitution immédiate, sans attendre que les rats quittent le navire, et que les médias tentent de gérer le virement de bord en douceur, au profit d’un clone quelconque.

Face à la vertigineuse aggravation de la crise de confiance du peuple dans ses représentants, les 6 candidats d’opposition sérieuse envisagent une réforme constitutionnelle et le recours au référendum. Excellentes positions communes, exigence minimum pour le retour à l’expression légitime de la volonté populaire et de l’intérêt de la France comme personne collective.*

Mais cela ne suffit pas. L’élection frauduleuse du président Biden, la volonté officielle d’imposer en France le vote électronique permettant d’introduire la fraude qui ferait basculer des résultats du côté souhaité par les anti France, ou bien une aggravation artificielle de la crise sanitaire justifiant le report de l’élection présidentielle, tout peut être utilisé par le pouvoir en France pour bafouer le résultat logique de toute consultation réelle du peuple de France, au moyen d’un processus électoral, tant le rejet de la classe dirigeante actuelle, perçue comme usurpatrice, est massif. Il y a en France aussi des mafias aguerries capables d’obtenir l’élection d’un fantoche style Biden par la combinaison d’intimidation, de tripatouillages médiatiques, d’assassinats ciblés, etc.

Toutes ces raisons justifient la nécessité d’introduire ou de réintroduire dans l’imaginaire national puis dans la constitution française le respect des racines chrétiennes de la France. Le fait chrétien, c’est comme l’eau bénite, nos ennemis en ont horreur, et il fait effectivement reculer le diable ! Ce n’est pas seulement un talisman moyenâgeux, cela se réactualise à toutes les époques.

Pour le dire dans la langue de notre temps, brandir l’image de Notre Dame des Victoires portant l’avenir sous la forme de l’Enfant sacré, c’est gagner les cœurs et la conscience. Et les vampires reculent toujours, spirituellement démasqués et désarmés, face à la montée de la foi. La Révolution française était anticléricale dans la mesure où le haut clergé acceptait d’être associé à la dégénérescence de la dynastie au pouvoir ; la royauté, aveuglée par l’usure du pouvoir absolu, avait laissé se développer les abus des courtisans et des nostalgiques de l’arbitraire féodal contre les classes pauvres et montantes. La colère du peuple ne trouvait pas les canaux légaux ni les protecteurs spirituels, pour s’exprimer. L’indolence dédaigneuse des gens au pouvoir, assurés de leur impunité, provoqua, de rupture en ruptures approfondies, l’effondrement du système.

Nous sommes dans une situation comparable, en 2022 : une caste se croyant toute puissante, usurpant la richesse et le pouvoir, et s’appuyant sur un clergé certes laïque, mais systématiquement mensonger, constitué de courtisans corrompus et d’une armée médiatique. Une caste certainement confiante dans une sorte de « droit divin » à régner sur la France, comme sur les autres nations, sans la moindre justification théologique ou basée sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, principe reconnu par l’Onu comme héritage de la Révolution française.

Une Révolution française, dans son inspiration protestataire originelle, est donc à nouveau à l’ordre du jour. Mais dans le contexte actuel, elle n’a pas de raison de se crisper pour perpétuer un héritage antimonarchique ou antireligieux ; tant les héritiers des anciennes dynasties que les autorités chrétiennes sont dans le monde réel d’aujourd’hui des figurants, sans aucun poids ni représentativité particulière. Les faits étant ce qu’ils sont, et l’histoire faisant partie du réel qu’on ne peut pas piétiner impunément, la France n’a pas le choix : elle doit revendiquer ses racines chrétiennes. Cela n’oblige personne à renoncer à sa liberté d’opinions et de croyance. Cela fonde en vérité, simplement, une renaissance spirituelle ; la seule alternative sera le suicide spirituel, aboutissement de la vaniteuse passion déconstructrice des intellectuels français irresponsables, et corollaire du suicide tout court, qui constitue déjà une tentation mesurable statistiquement, par la baisse dramatique de la fécondité des couples français, en perte de repères, et par la chute de la natalité, ce qui indique l’affaiblissement de l’instinct vital.

Les musulmans de France manifestent une vitalité spirituelle et physiologique que les Français de plus ancienne date leur envient : ils respectent les structures familiales, la sacralité du mariage destiné à encadrer la natalité et à protéger les enfants. Les musulmans respectent, plus que les Français de culture chrétienne malgré eux, les images de Notre Dame, de saint Michel, le vainqueur guerrier des sournoises armées du mal, de saint Jean Baptiste, annonciateur du Messie, de Jésus le Christ prophète de l’harmonie sociale, chassant pour le bien de tous les marchands du Temple, et celui qui dit encore à l’humanité entière : « je suis le chemin, la vérité et la vie ».

Les musulmans de France portent, selon les statisticiens, l’avenir démographique de la France. Nous nous en réjouissons, car sans eux, la culture de mort, celle que veut nous imposer le pouvoir globaliste attaché à la disparition physique et spirituelle de la France, serait hégémonique, outre qu’elle est déjà diabolique.

Chacun, homme ou femme, enfant ou vieillard, élevé dans une croyance ou dans le refus d’une croyance, connaît des atermoiements et des conversions. Une femme jeune qui avorte légalement dans le soulagement deviendra une vieille dame désespérément seule et rongée par le remords et les regrets inavoués, ou bien une militante pro vie. Tel qui a maudit ses parents à quinze ans en prendra soin fidèlement en atteignant à son tour un âge mûr. Tel jeune homme révulsé par l’arrogance féminine et le féminisme officiel, tenté par l’homosexualisme militant deviendra, comme son propre père, un jour, un bastion protecteur pour d’autres moins solides. Oui, la conversion dans le secret des consciences est le moteur de l’histoire, de la construction de la personne collective.

C’est pourquoi notre discours s’adresse à tous, et ne prétend pas dicter son avenir aux Français : l’avenir sera ce que nous en ferons, en conservant précieusement ce qui nous convient de nos institutions et coutumes, en recevant avec gratitude la créativité des nouvelles générations, enrichies par la double culture que nous avons tous, car déjà la génération de nos parents se nourrissait avec enthousiasme des découvertes et évolutions spirituelles que permettaient les voyages dans le monde entier.

Notre société reproche à la caste gouvernante, et aux autorités morales, ecclésiastiques, anticléricales, éducatives ou médiatiques, de ne pas jouer leur rôle de digue protectrice. Face à ceux qui se moquent du peuple, le peuple a le droit de s’insurger.

Faisant le bilan de bientôt cinquante ans de regroupement familial fécond, d’un autre côté dans la continuité de la réflexion critique du Front national puis du Rassemblement national, et désormais rejoints par la grande majorité des Français se sentant spoliés par une immigration illégale favorisée justement pour qu’elle remplisse, bien malgré elle, un rôle déstabilisateur et déstructurant, nous distinguons les musulmans de France, établis depuis plusieurs générations, qui ont les mêmes droits que tous les autres citoyens, et l’immigration illégale, que nous combattons, non en tant que vecteur de minorités religieuses ou ethniques, mais parce qu’elle est concurrentielle sur le marché de l’emploi, du logement, et qu’elle met en danger la stabilité ethnique et culturelle de la nation, bases incontournables d’un avenir commun.

Parmi les citoyens d’origine étrangère, c’est la tranche d’âge des adolescents qui pose problème, car ils sont assiégés par des délinquants expérimentés qui exploitent la tendance naturelle de cet âge à la turbulence. Mais nous reconnaissons la rigueur morale générale des pères et mères de famille croyants, de toute confession, soucieux d’élever leurs enfants dans les bonnes mœurs et le respect des lois. Les familles musulmanes et chrétiennes d’outre-mer et d’Afrique sont généralement bien plus fidèles au culte et à la rigueur morale que les Français continentaux. Elles représentent un facteur d’exemplarité, et nous reconnaissons la pleine validité de leur mépris envers les Français qui renient leurs ancêtres et leurs traditions culturelles et religieuses.

Afin de rétablir l’équilibre et de faire entendre à nouveau la parole vraie qui est interdite de cité de fait par les médias, nous multiplierons les occasions de faire entendre la voix du peuple. Les Gilets jaunes, les manifestants qui par millions expriment pacifiquement dans les rues de chaque grande ville, tous les samedis, leur refus de la dictature sanitaire, les referendums sur les questions de fond qui engagent notre destin national : autant d’expressions de la résistance populaire au mensonge d’Etat. Chaque étape du combat suscite ses propres formes d’action : nous sommes prêts pour de nouvelles tactiques, allant du boycott à la désobéissance civile, et plus si les circonstances l’exigent.

Une fois le lien renoué avec le peuple, nous établirons des relations internationales basées sur la générosité et la loyauté chrétienne. Nous refuserons d’exercer des sanctions économiques contre aucun pays qui ne nous attaque pas, nous respectons leurs choix, de gouvernement, de législation, de méthodes de gouvernement.

Dans la même ligne de refus du mensonge et de la félonie comme méthode de gouvernement de la société française, nous rétablirons la liberté des soins médicaux pour les patients et les médecins ; les médecins, pour être dignes de leur haute fonction, ne sont tenus qu’au respect du serment d’Hippocrate. Le peuple ne saurait être géré comme un troupeau de bestiaux à mener à l’abattoir à l’aide de leurres, sous prétexte que « sauver la planète » exigerait la réduction drastique du nombre des personnes déclarées « non indispensables » par une oligarchie se croyant mandatée par le ciel pour faire du nettoyage ethnique et générationnel partout dans le monde. 

 

Notre Dame des Victoires respecte toutes les croyances, mais Notre Dame de Paris ne saurait devenir un musée de trophées dérobés au peuple des croyants à l’occasion d’un incendie criminel. C’est le principal lieu saint de la nation, nous exigeons des poursuites contre ceux qui ont tenté de la détruire, et de tuer l’esprit chrétien dans la foulée. Musulmans et chrétiens révèrent la mère du Christ, on ne le dira jamais assez, ils se retrouvent dans chaque sanctuaire marial pour des pèlerinages : les deux statues de Notre Dame à l’intérieur de la cathédrale ont été préservées, lors de l’incendie criminel qui a prétendu décapiter le bâtiment, et décapiter la loyauté française à son histoire spirituelle : c’est un miracle et un signe qui nous a été envoyé, en pleine Semaine sainte 2019, ou un clin d’œil plein de bienveillance du hasard, diront d’autres, en tout cas une magnifique image pour donner corps à notre espérance dans la résurrection de la France.

Ces signes, les musulmans y sont particulièrement sensibles, parce que leur capacité d’écoute des signes divins n’est pas stérilisée par un rationalisme obtus se prétendant cartésien, mais n’étant plus guère que maniaque, tel que prétendent le confisquer les universités. Ils apportent à notre foi une vitalité bienvenue, alors que le découragement tend à étouffer notre sentiment de notre dignité. Si nous n’avons pas la force spirituelle, nous serons balayés en tant que nation. La France a la réputation d’être un pôle d’esprit critique, de recherche intransigeante de la vérité. Ces qualités ne doivent pas servir à détruire notre société, mais à la reconstruire.

 

 

Autre signe, dans ce même épisode tragique du 15 avril 2019, la croix dorée suspendue au-dessus de l’autel ne s’est pas effondrée: il faut le dire, que la foi revit dans les décombres, renaît dans les épreuves, le redire, le montrer, multiplier les processions rendant visible la croix, et faire comprendre que la vérité que comporte le signe de la croix va bien au-delà des appartenances confessionnelles.

Car la croix c’est le signe de la rencontre féconde des axes naturels, horizontal et vertical, hiérarchique et égalitaire, et c’est aussi la stylisation de l’arborescence dans la nature, celle des végétaux qui nourrissent le monde animal et humain ; non la croix n’est pas un signe d’appartenance pour exclure, ou de tristesse comme allégorie synthétique de la crucifixion d’innocents à toutes les époques, et de la difficulté d’être prophète en son pays. La croix signifie la convergence et la rencontre de toutes les bonnes volontés, pour sauver l’humanité au milieu des ruines.

 

 

S’incarner dans la forme de la croix, c’est choisir le sacrifice individuel indispensable au salut de la communauté. Les chercheurs, soignants et médecins qui s’opposent à la dictature sous prétexte sanitaire se sacrifient pour notre salut et celui des générations suivantes. Ce sont nos héros et nos saints, ils nous appartiennent à tous. Force et honneur à eux, qui soutiennent notre existence à bout de bras, qui y perdent leur salaire, leur sommeil, leur reconnaissance sociale, et bien souvent le soutien de leur famille, car, comme disait Céline, « dans la vie tout se paie, et le  bien c’est plus cher, forcément »…

Le gouvernement actuel a été élu par une minorité, et il est soutenu par des députés également mal élus (grâce à un abstentionnisme record) ayant pour habitude de faire voter les lois les plus décisives au milieu de la nuit, devant des banc vides. C’est malhonnête de bout en bout. Voilà pourquoi nous parlons d’usurpation du suffrage universel, de machination par des lobbies ultra minoritaires, et de honte pour les députés de la majorité, qui doivent être traduits en justice pour corruption passive.

Depuis 10 ans, nous avons appris, sur nous-mêmes, sur notre besoin de vérité et de fidélité. La vraie modernité, c’est de retrouver le meilleur de notre antiquité, les ressorts les plus secrets, contre les calculs des oligarques toujours à courte vue, car ils savent que leurs conquêtes sont précaires. Une victoire solide ne saurait être que celle de l’esprit.

Pour ce qui est du drame des réfugiés, nous reconnaissons la générosité de ceux qui les protègent, mais nous affirmons, comme le cardinal Sarah, l’évêque guinéen qui écrit dans un si beau français, qu’il faut les aider à servir leur pays chez eux, et non pas se servir d’eux contre leur pays et le nôtre.

Nous sommes entièrement d’accord avec Éric Zemmour sur la nécessaire révision de l’histoire des relations de la France avec les juifs, afin de laisser la place à l’histoire et à la recherche honnête, contre la propagande et les privilèges pour certains, et l’impunité pour les faussaires. Le culte de l’holocauste contribue à réactiver les rancunes et les incompréhensions réciproques. Nous applaudissons à tous les efforts des juifs français pour instaurer un débat interne sain et honnête.

Chaque groupe a ses méthodes d’action propres ; nous respectons ces jeunes qui organisent des fêtes sauvages rassemblant des milliers de personnes, dans le plus pur mépris de la répression policière à prétexte sanitaire et des discours fallacieux visant à répandre la terreur.

 Nous respectons les « Mamans louves » prêtes à tout pour empêcher qu’on vaccine de force nos enfants, avec des produits toxiques, désormais reconnus comme tels par bien des autorités politiques et scientifiques de par le monde, même si le combat contre les agents criminels et corrompus de Big Pharma est encore loin d’être gagné.

Nous respectons et saluons la résistance guadeloupéenne, qui obtient des victoires pour nous tous, en matière de droits des soignants, et de refus de la vaccination forcée ; ils ont l’expérience de l’empoisonnement historique par le chlordécone, imposé pour préserver les intérêts des grandes compagnies bananières, ayant fait des Antilles le premier « pays » au monde en nombre de cancers par habitant. Ils ont l’expérience des mensonges d’Etat et du mépris esclavagiste, celui du couvercle avec lequel on veut étouffer tous les peuples occidentaux aujourd’hui.

Nous nous réjouissons avec ceux qui sabotent et qui boycottent, ce sont les premiers à avoir compris qu’il fallait prendre au sérieux la déclaration vicieuse de Macron « nous sommes en guerre », car Macron nous a effectivement déclaré la guerre, et la guerre, il faut la gagner avec l’infanterie, pied à pied, sur le terrain de l’adversaire.

Nous engageons les vieux à dire une fois pour toutes qu’il est inadmissible de faire servir la protection de leur santé de prétexte pour culpabiliser et bâillonner les jeunes. Non, les vieux n’ont pas plus peur de mourir que les jeunes, et ils doivent être au premier rang de la résistance, précisément parce qu’ils ont moins (de temps) à perdre !  Cet égalitarisme là fait partie aussi de la restauration de l’éthique, contre la démagogie du tout sécuritaire, qui de fait dresse les uns contre les autres, et nous paralyse.

Les « valeurs » censées nous rassembler en tant que pays civilisé ont été tellement falsifiées et dénaturées que, objectivement, seul un front visible des croyants fera tomber les écailles des yeux de ceux qui sont aveuglés par la peur, la paresse et le conformisme. Toute initiative qui ne trouve pas ses racines dans la tradition et ses remparts dans la foi pourra se voir récupérée, dévoyée, sous prétexte de droits individuels et / ou d’obligations collectives, inversés en outils de division ou de guerre civile. Le mensonge préside au crime, la fraude à la tyrannie, mais ils sont impuissants devant la foi, qui est un roc et un ciment.

Notre Dame des Victoires, c’est « Personne », le nom que se donna l’astucieux Ulysse qui vainquit le Cyclope ; celui-ci se prétendait berger, et de son œil unique et terrifiant, prétendait exercer le seul regard possible sur le monde. Caché en s’agrippant au ventre des brebis dociles, Ulysse la Personne collective, le Peuple, parvint à sortir sans être vu de l’antre du géant où celui-ci le retenait prisonnier avec ses compagnons, après avoir planté joyeusement un pieu dans l’œil unique du Cyclope endormi. Le géant aveuglé fut donc vaincu par la ruse et le courage du peuple. Non, nous ne sommes plus les mougeons d’hier, face aux mortelles impostures macroniennes.

 

 

 

 

*** Voir https://www.bvoltaire.fr/presidentielle-quels-sont-les-candidats-les-plus-souverainistes/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=e1662f14c4-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-e1662f14c4-30332105&mc_cid=e1662f14c4&mc_ei