Publié le 14/06/2015
La chambre à gaz, un serpent de mer qui revient sur le tapis, et qui fait de nouvelles victimes tous les jours.Ci-dessous, une adresse du chercheur américain Bradley Smith aux autorités de Harvard. En France comme aux USA, on constate que les universitaires continuent à faire l'autruche, sur la question des chambres à gaz. Les juges sont tenus de condamner les rares chercheurs qui, comme Galilée en son temps, se battent pour imposer l'évidence, que le recul des années décante sans concession. La question des chambres à gaz est tout aussi centrale pour l'Occident que la question de la place de l'homme dans l'univers. Galilée était poursuivi parce que sa thèse, assortie d'un comportement typiquement engagé, belliqueux contre les autorités ecclésiastiques, semblait faire trembler sur ses bases l'autorité de l'Eglise. Galilée finit par se renier, ses conclusions finirent par s'imposer, et l'Eglise a gagné en force politique et morale, dès lors qu'elle a reconnu la validité du "détail" colossal pour lequel se battaient les savants honnêtes de l'époque. Nous sommes dans un moment de crise tout aussi décisive.
Dans notre pays, un chercheur est condamné à la prison pour diffuser des documents que tous les spécialistes de la deuxième guerre mondiale devraient diffuser d'urgence, alors qu'ils les cachent ou les ignorent systématiquement. Il s'appelle Vincent Reynouard, c'est la deuxième fois qu'il est condamné à une peine de prison pour la même activité, les mêmes conclusions: c'est un professeur de mathématiques, c'est un historien sans ressources, c'est un garçon têtu.
Dans notre pays, l'historien qui, tout aussi têtu, donne la parole sur youtube à Robert Faurisson, l'orfèvre parmi les universitaires qu'on ne présente plus, passe en jugement cette semaine. Il s'appelle Paul Eric Blanrue, c'est encore un entêté.
Dans notre pays, toute la classe politique, sans aucune exception à ce jour, recule devant une question qui constitue un verrou pour la réflexion de tous et la santé mentale de tous, un tabou qui est manié pour créer des ostracismes et des rancunes, pour diviser durablement. Mais dans notre pays, la crédibilité de tous les partis politiques se délite, ce qui indique que le peuple cherche désespérément sa vérité, le reflet juste de ce qu'il est, et ne la trouve nulle part.
Au même moment, d'autres peuples se lèvent et donnent de la voix pour rappeler que l'Occident prétend toujours faire sa loi au monde en combinant agressions militaires et impostures de toute nature, la propagande historique assortie de la terreur d'Etat étant plus que jamais l'arme létale par excellence, puisqu'elle a pour but de tuer l'âme et ses ressorts vitaux.
Le révisionnisme arménien, le révisionnisme russe, le révisionnisme africain contribuent à réduire l'emprise de la propagande néojudaïque brandie par l'OTAN contre les peuples occidentaux (les autres ne sont pas dupes). Le révisionnisme musulman attaque le coeur de notre décadence morale, en soulignant que le christianisme qui a donné forme à l'histoire occidentale ne fait nullement barrage à nos crimes impérialistes. Le révisionnisme du pape François est celui de tous les peuples du monde qui assistent avec stupéfaction aux nouvelles impostures pseudo-scientifiques qu'on veut nous imposer, et répandre par la force dans le monde entier, telle la domestication par castration mentale que représente l'homosexualisme obligatoire.
En dehors des chercheurs décidés à éradiquer l'imposture officielle et obligatoire du mythe de la chambre à gaz, les résistants au mensonge n'aiment pas, en général, le terme révisionniste, car la vérité, sur des points précis et concrets, est une, simple et lumineuse, et ils accusent généralement les propagandistes de la suprématie occidentale d'être eux, des révisionnistes méprisables, quant aux vérités qui les touchent personnellement. La querelle des mots ne doit pas nous diviser. On peut remarquer qu'un terme mis à la mode dans les années 1990 est en net recul, celui de négationnisme. Les ennemis de la vérité accusaient les faurissonniens de déni de la réalité des faits. Mais sur tous les terrains, désormais, c'est le discours officiel qui est démasqué comme déni des faits, l'insulte s'est d'ores et déjà retournée contre les pédants inventeurs du lourd néologisme français. Négationnistes, oui, nos gouverneurs qui somment les tribunaux de sévir contre Blanrue, Reynouard, et autres faurissonneurs, les mêmes qui assument sans rougir la mise en scène obscène des attentats parisiens de janvier 2015 afin de justifier une répression sans limites contre musulmans et esprits critiques de toute obédience. Négationnistes forcenés, nos complices du génocide palestinien, dont Israël se flatte de l'avoir presque presque achevé . Négationniste et donc à terme condamné, le doux rêve israélien de se débarrasser de ses derniers "encombrants" à la faveur d'une provocation militaire imminente, obligeant les pays de l'OTAN et les pays arabes à entériner le prochain carnage qu'ils préparent ostensiblement.
La résistance est non seulement possible, mais elle marque des points. Le mythe des chambres à gaz, qui a servi dans une première étape à terrifier bon nombre de juifs, puis à étayer les conquêtes territoriales israéliennes, et enfin à agir comme un narcotique puissant sur les nouvelles générations occidentales, ce mythe fondateur de l'impérialisme otanesque, est la carcasse langagière vide d'une arme périmée, un simple épouvantail.
Bradley Smith, universitaire américain, donne ci-dessous un exemple d'attaque, qu'il pratique avec acharnement depuis plus de trente ans. Il mentionne une bizarrerie constatée dans les écrits du président Eisenhower. Rappelons qu'on la constate aussi dans les mémoires de Churchill et de De Gaulle.
Maria Poumier
Monsieur le Professeur Steven Pinker
Department of Psychology Harvard University 350 Massachusetts Ave, Cambridge, MA 0213818 May 17, 2015 Monsieur le Professeur, Je me réfère ici à votre article de principe publié dans "The Boston Globe" du 27 janvier et intitulé: "Pourquoi la liberté d'expression est fondamentale". Vous écrivez: "La première raison est que la chose même que nous faisons au moment où nous nous demandons si la liberté d'expression est fondamentale - nous échangeons des idées, nous les évaluons - sous-entend que nous avons le droit d'échanger des idées et de les évaluer. Quand nous parlons de liberté d'expression (ou de n'importe quel autre sujet) nous parlons." [Sic! - Bocage] D'accord. Alors parlons. En 2009, "The Harvard Crimson" a publié une annonce (de 5 cm sur une colonne) où je demandais pourquoi Dwight D. Eisenhower ne mentionnait pas les mots de "chambres à gaz" dans son livre "Croisade en Europe". La publication de cette annonce a déclenché un scandale et "The Crimson" l'a retirée après la première parution. [B. Smith indique ici l'adresse où retrouver sur son site l'intégralité de l'affaire]. D'après mes recherches, vous ne vous êtes pas prononcé sur ce scandale relatif à la liberté d'expression. A la lecture de votre article de principe dans "The Boston Globe", l'idée m'est venue de me demander pourquoi. Pourquoi, d'après vous, le général Eisenhower, dans le récit qu'il fait de la Deuxième Guerre mondiale, aurait-il choisi de ne pas mentionner les "chambres à gaz"? Personne ne pouvait savoir mieux que lui quelles étaient les armes de destruction massive employées par les Allemands pendant cette guerre et quelles armes ne l'étaient pas. Eisenhower a choisi (il a choisi!) de ne pas apporter sa caution à une histoire de chambres à gaz dont il avait toutes les raisons de croire qu'elle était pourrie. En même temps, comme il comptait bien poursuivre sa carrière, il n'allait pas mettre en péril cette carrière en niant cette histoire. Quel rapport avec Steven Pinker? Le premier point à relever est le fait que soixante-dix ans après que le général Eisenhower eut décidé d'évacuer l'histoire de "la chambre à gaz" et par conséquent la question de l'Holocauste, je constate que vous avez fait de même. Les mots "chambres à gaz" semblent être absents de votre vocabulaire. Et ensuite, quand, en 2009, la question de l'Holocauste et le problème de la liberté d'expression ont réapparu dans "The Harvard Crimson", vous avez observé le silence. N'oubliez pas: ici je spécule. Tout comme le général Eisenhower après la Deuxième Guerre mondiale, vous êtes actuellement au sommet de vos capacités. Votre silence sur les chambres à gaz laisse entendre qu'intérieurement vous avez conscience que ces histoires orthodoxes de chambres à gaz sont fausses. Intérieurement, vous savez bien que si vous le dites en public, vous serez fichu. En même temps, intérieurement, vous savez bien que si vous soutenez l'histoire orthodoxe de la chambre à gaz vous serez contesté par les révisionnistes et vous serez fichu. Si vous voulez continuer à être considéré comme l'un des meilleurs intellectuels de Harvard et du monde entier, il vous faut éviter de dire publiquement ce dont vous doutez dans votre for intérieur. Il y a quelque chose qui cloche, avec cette histoire de chambre à gaz. Vous avez écrit ailleurs: "La morale n'est pas seulement quelque vieux chapitre de la psychologie mais c'est quelque chose qui est lié à notre conception du sens de la vie. La bonté morale, c'est ce qui nous donne, à chacun de nous, le sentiment que nous sommes des êtres humains dignes d'estime." Monsieur le Professeur: peut-on être un être humain digne d'estime si l'on ne dit pas franchement (ouvertement) ce que l'on croit et ce que l'on ne croit pas? Surtout quand cela nous met en péril, comme c'est le cas quand on conteste l'histoire de la chambre à gaz? Lorsque vous écrivez, dans "The Boston Globe "...la liberté d'expression est vraiment fondamentale..." vous semblez avoir choisi de vivre d'une manière qui contredit cette affirmation. Si vous le faites pour des raisons autres que le souci de votre carrière, il serait intéressant que vous nous indiquiez quelles sont ces raisons. Le temps est venu qu'un universitaire de Harvard spécule sur les raisons qui ont poussé le général Eisenhower à ne pas mentionner les chambres à gaz dans son livre "Croisade en Europe". J'ai peut-être tort de le dire, mais je crois qu'il est temps que l'un d'entre vous essaie de fournir le nom, preuve à l'appui, d'une personne ayant été assassinée dans une chambre à gaz à Auschwitz. Votre phrase sur "le droit d'échanger des idées et de les évaluer" vise à encourager une telle initiative, non? La Liberté d'Expression est Fondamentale.
Bradley P.S. Je souhaite placer une petite annonce dans "The Harvard Crimson" ainsi rédigée: "Breaking the Spell. The Holocaust, Myth & Reality, de Nicholas Kollerstrom." Si "The Crimson" manifeste une certaine réticence à publier cette annonce, trouverez-vous le temps de leur faire valoir l'importance de la Bonté Morale dans l'échange des idées et leur évaluation? Vous trouverez le livre de Kollerstrom à: Amazon Kindle:http://www.amazon.com/dp/B00Q8UK8BM Boutique CODOH: https://shop.codoh.com/book/365